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Vers un retournement sur le marché du sucre
15 juin 2004
Le pétrole va entraîner le sucre dans son sillage. Cela peut paraître saugrenu mais c’est la conviction de beaucoup d’intervenants et d’analystes sur les marchés.
Les cours mondiaux du sucre se traînent depuis de longues années à des niveaux catastrophiques. La faute à une surproduction massive. Cette année encore, les principaux exportateurs mondiaux, les Brésiliens devraient avoir une récolte record. Et les grands acheteurs internationaux, les Russes, les Chinois sont très discrets. Mais tout cela est en train de changer.
D’abord parce que la production mondiale est en train de baisser. 143 millions de tonnes cette année contre 149 l’an dernier. De nombreux pays voient leur
production chuter, la Thaïlande par exemple à cause de la sécheresse.
Progressivement, jusqu’à l’an prochain les besoins d’importation vont donc aller croissants. Ce sera en particulier le cas de l’Inde, qui devrait acheter 4 millions de tonnes de sucre sur les marchés mondiaux. Ce qui ne s’était pas vu depuis plus de dix ans. De leur côté, les Chinois pourraient importer 1,5 million de tonnes.
Face à cela, les Brésiliens seront parmi les seuls à disposer de volumes très importants. Ce qui leur permettra d’accroître leur main-mise sur un marché mondial du sucre qui sera nettement en déficit, où les besoins seront supérieurs à l’offre.
Or les Brésiliens transforment pas loin de la moitié de leur canne à sucre en éthanol, leur carburant vert. L’objectif, c’est bien sûr de réduire les importations de pétrole. Mais si le pétrole reste cher, pour importer moins, les Brésiliens développeront leur production d’éthanol. La décision est déjà dans les tuyaux. Il y aura donc moins de canne pour faire du sucre. Cela réduira les exportations et obligera les acheteurs à s’arracher les chargements brésiliens, propulsant les prix du sucre à des niveaux oubliés depuis longtemps, pour le plus grand bonheur des producteurs et des spéculateurs. (source RFI)
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