
Hommage à la femme de Bruny PAYET
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6 mars 2006
L’aménagement du territoire pour faire face aux dégâts des eaux, la sécurité des logements et leur résistance aux cyclones sont-ils suffisamment pris en compte aujourd’hui ?
Au lendemain de Firinga et alors que s’impose la nécessité vitale pour La Réunion de construire vite des dizaines de milliers de logements, la question doit être posée, et la vigilance de rigueur".
Au lendemain du passage de ce cyclone qui a ravagé notre île en 1989, c’était le premier commentaire de "Témoignages". Les drames vécus le week-end dernier par de nombreux Réunionnais qui ont vu leur maison inondée ou sous la menace d’un glissement de terrain sont là pour rappeler que ce sont ceux qui ont l’habitat le plus précaire qui paient le plus cher les conséquences des tempêtes tropicales.
Ce qu’était la colonie :
44 kilomètres de route bitumés
Dans un article paru dans le cadre de la célébration des 60 ans de notre journal, Eugène Rousse constate l’important sous-équipement à l’époque du statut colonial. Cela se vérifiait notamment dans les routes.
Au moment de son accession au statut de département français, La Réunion souffre d’un dramatique sous-équipement qu’on ne constate pas à Maurice, colonie anglaise, ni même à Madagascar, colonie française depuis seulement un demi-siècle.
L’île manque - nous l’avons vu plus dans les éditions précédentes - d’équipements scolaires, sportifs, sanitaires, de réseaux d’adductions d’eau. Pour compléter ce sombre tableau, ajoutons que les déplacements à travers La Réunion sont très difficiles en raison de l’état déplorable du réseau de communications.
En 1945, sur les 232 kilomètres de route littorale, seuls 44 kilomètres sont grossièrement bitumés, dont les 8 premiers kilomètres de la route de La Montagne. De plus, cette route qui permet la liaison Nord-Sud est dangereuse parce que trop étroite et dépourvue de parapets dans une zone où elle franchit des torrents aux gorges profondes. Il est bon de préciser que cette route est peu fréquentée, le parc automobile ne comptant en 1946 que 1.188 véhicules contre 6.496 en 1958 et 264.690 en 2002.
"À notre tour, nous appelons à amplifier le rassemblement pour que la date du 19 mars soit célébrée chaque année ! Elle est le point de départ de l’amplification et de l’accélération de la structuration de notre identité, condition absolue d’un développement durable et pour tous les Réunionnais".
Extrait de “Nou lé pa plus. Nou lé pa moin. Rèspèk a nou :
Amplifions l’Appel pour que le 19 mars soit une date commémorative”, déclaration adoptée à l’unanimité par 1.200 vétérans réunis le 12 février à Sainte-Suzanne.
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