
Lotonomi alimantèr ? Dann in plan rényoné pou noute dévlopman.
17 juin, parMézami, mon bann dalon, Késtyonn dévlopman, zot i koné kossa noute parti i vé pou la Rényon é zot i koné kozman lo kozman noute bann kamarade kan (…)
Les interventions à la conférence du PCR célébrant le 70e anniversaire du statut colonial
21 mars 2016
Le dernier message aux participants à la Conférence du 19 mars était celui de la jeunesse de Sainte-Suzanne. Il a été lu par René Sotaca.
Tout d’abord, je viens à cette tribune pour rendre un vibrant hommage à toutes les personnes qui ont œuvré à la création du Parti communiste réunionnais en 1959
70 ans après le vote de la loi du 19 mars 46 une crise sans précédent frappe notre pays, le système est à bout de souffle. Nous avons dû combattre sans cesse afin d’obtenir les mêmes droits que la France.
D’autres camarades avant nous, ont combattu l’esclavage, le colonialisme, la misère sociale. Certains sont même morts pour la défense de ces droits fondamentaux : LIBERTE, EGALITE, SOLIDARITE.
Une ère nouvelle s’offre à nous, jeunes communistes, c’est le moment de reprendre le flambeau et de suivre l’exemple de nos ainés. La nouvelle société devra faire avec cette « jeunesse rebelle », cette jeunesse qui souhaite faire avancer La Réunion avec des idées d’expérience mais aussi avec des idées de jeunes. Comme le disait un des plus jeunes député, notre camarade Laurent Vergès, à la tribune de l’Assemblée Nationale à Paris : nou lé pa plus nou lé pa moin respect a nou.
La société va mal, face à la crise que connait la réunion aujourd’hui, face aux nouveaux défis du XXIe siècle, rassemblons-nous pour une nouvelle politique, comme l’on fait les Réunionnais (es) en 1945, autour des acteurs de la loi du 19 mars 1946 pour sortir la Réunion de la misère coloniale.
La jeunesse ne doit pas se désintéresser de la politique, bien au contraire elle doit prendre sa part de responsabilité dans notre pays et ailleurs. Pour faire changer les choses, il faut que nous soyons acteurs dans notre société réunionnaise.
Actuellement, le taux de chômage chez les jeunes est qualifié par l’INSEE de « hors norme » : 60 % des jeunes de moins de 25 ans sont frappés par le chômage.
Le non-sens réside d’une part, dans le fait que les formations ne répondent pas aux besoins du terrain et d’autre part, dans le recours aux personnels extérieurs malgré les qualifications de notre jeunesse. Le système actuel est obsolète et les gouvernements successifs continuent sur la même lancée. Face à cette situation très alarmante, les jeunes doivent se mobiliser et agir pour l’avenir de la Réunion.
Bien trop souvent occultée par les pouvoirs publics, la délinquance est en partie, sinon en grande partie, le résultat de la détresse et de la misère sociale.
Indéniablement, le jeune sans emploi à plus de risque de sombrer dans la délinquance, l’alcoolisme, la consommation de drogues et autres. C’est pourquoi tous ensemble, nous devons avancer main dans la main. Car le travail c’est la dignité et nous devons relever le défi qu’est le développement de notre pays.
Nous devons aussi agir sur la mise en place d’un moratoire d’une quinzaine d’année concernant le recrutement dans la fonction publique à la Réunion, comme se fût le cas dans les années 1960.
Nos parlementaires devront soutenir des projets réunionnais, tels que la création de deux grands services dans l’aide à la personne (petite enfance, périscolaire, personnes âgées, personnes handicapées, personnes isolées fragiles, etc.) et l’environnement (protection et embellissement des sites, tri sélectif et valorisation des déchets, etc.)
La jeunesse réunionnaise doit être partie prenante d’une véritable coopération régionale avec les pays de la zone. Cette coopération peut prendre la forme de la mise en œuvre d’un plan solidaire de développement durable couvrant la recherche, l’innovation, la santé, l’environnement, la sécurité alimentaire, les activités économiques, sociales, culturelles, éducatives (avec le concept de l’Université de l’Océan Indien), etc. L’exemple d’un facteur important qui doit être pris en compte : il faut savoir que Madagascar verra sa population doubler en une génération, aujourd’hui 24 millions plus tard 55 millions.
Les jeunes ont toute leur place dans un PCR fort et rénové. C’est l’appel que les jeunes communistes de Sainte-Suzanne lancent à la jeunesse réunionnaise après ce rassemblement. Chers camarades le combat continue pour la Liberté, l’Egalité, pour la Responsabilité et l’avenir de notre jeunesse.
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