
La vérité lé tétu ! i pé pa tourn ali lo do kontinyèlman !
4 juillet, parMézami, mon bann dalon, si in zour in listorien i désside rakonte anou bien konm k’i fo listoir La Rényon, mwin lé sirésèrtin li va parl anou (…)
Transport Maritime
11 octobre 2006
Le précédant gouvernement a résilié son contrat avec la Comaco, filiale de Mer Austral qui avait en charge les opérations de manutention au port de Moroni, pour non-respect de ses engagements. À la place, un consortium arabe des Émirats Arabes Unis s’engage à investir dans la modernisation et l’agrandissement des ports pour en faire un pôle d’éclatement sous régional.
En avril dernier, le gouvernement sortant a résilié le contrat de concession des activités portuaires de la Compagnie de Manutention des Comores, Comaco, filiale de la société française mer Austral, signé en 2001. Dans le cahier des charges, Mer Austral s’était engagée à créer aux Comores une société financière de type holding avec des actionnaires locaux, à fournir un matériel adéquat, notamment des chariots élévateurs et des chalands, pour fluidifier les opérations de manutention, et à verser des redevances à l’État.
Selon un homme d’affaires, la Comaco a failli à sa mission : "Je passe sur ses obligations envers l’État pour m’en tenir à la situation qui prévaut sur le port ; rien n’a évolué depuis la privatisation de la manutention, car le déchargement traîne autant. Le vieux matériel en nombre insuffisant ajouté au mauvais traitement des dockers font que les surcoûts sont de plus en plus élevés".
En effet, une bonne partie des marchandises continue d’être débarquée par des boutres comme il y a 1 siècle alors que le gouvernement avait déboursé près de 300 millions (environ 600.000 euros) en 2002 pour indemniser les boutriers avec l’arrivée du matériel de la Comaco. Au final, ce sont les consommateurs qui payent tous les surcoûts liés au sous-équipement du port.
Passer de 600 à 2.000 tonnes par jour
Pour leur part, les responsables de Mer Austral à Madagascar attribuent les causes de cette défaillance au gouvernement comorien qui n’a pas permis à cette dernière de disposer du port en eau profonde de Mutsamudu. Dans une mise au point adressée à la presse, le PDG dénonce la résiliation unilatérale du contrat de concession et menace de saisir les autorités françaises et les instances internationales pour demander réparation.
Le malheur dans tout ceci, explique un opérateur, c’est que les gouvernants ne tirent pas les leçons de ces défaillances : "Le nouveau gouvernement vient de concéder les activités portuaires du pays sans associer les opérateurs et les autorités insulaires".
Il est avéré que le Ministre des Transports et du Tourisme de Ngazidja s’oppose à cette concession et menace de faire obstruction en plus du fait que jusqu’ici, le gouvernement de l’Union n’a aucune autorité sur le port d’Anjouan.
Désemparée par le blocage actuel du port, la Fédération du secteur privé souhaite l’installation du nouvel opérateur et se propose de jouer les médiateurs entre le gouvernement de l’Union et l’île de Ngazidja.
Selon Idi Nadhoim, le Vice-président de l’Union qui a négocié et signé la convention, Al-Marwane et Gulftainer constituent un groupe de renom dans la construction des infrastructures et la gestion de ports internationaux. Le consortium s’engage à fournir immédiatement des équipements de manutention plus performants, pouvant faire passer le volume de marchandises traitées de 600 à 2.000 tonnes par jour au port de Moroni avant d’envisager les travaux d’agrandissement.
M. Aliloifa
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