
Hommage à la femme de Bruny PAYET
1er juillet, parLa section PCR du Port apprend avec une profonde tristesse le décès de Nadia PAYET, ancienne déléguée syndicale CGTR. Militante engagée et (…)
Exercice organisé par la Commission de l’océan Indien
3 octobre 2023
La Commission de l’océan Indien, en collaboration avec les autorités mauriciennes, a organisé un exercice régional de simulation de pollution marine. Cet exercice s’est déroulé du 25 au 29 septembre à Maurice.
Outre les administrations mauriciennes chargées de la surveillance, de l’environnement et du transport maritime, entre autres, de nombreux acteurs régionaux ont participé à cet exercice baptisé MASEPOLREX23. Cette activité, organisée, coordonnée et soutenue par la COI à travers le programme MASE financé par l’Union européenne, a permis de tester le plan national de prévention et de lutte contre les risques de pollution marine de Maurice et également de renforcer les mécanismes de coopération et coordination avec les pays voisins, institutions régionales et les partenaires.
MASEPOLREX23 a mobilisé au total près de 400 agents des administrations nationales mauriciennes, des Centres régionaux de coordination opérationnelle (CRCO) et de fusion de l’information maritime (CRFIM) basés respectivement aux Seychelles et à Madagascar. Des partenaires régionaux et internationaux étaient également présents (Convention de Nairobi, Organisation maritime internationale, ITOPF, SAMSA…). Des représentants d’Afrique du Sud, Comores, Djibouti, France, Kenya, Madagascar, Mozambique, Seychelles, Somalie, Tanzanie et Yémen ont également participé à MASEPOLREX23.
« Dans notre zone où transitent chaque année des milliers de navires, il est crucial d’investir dans la prévention des risques, dans les capacités effectives d’intervention et dans les mécanismes de coopération parce que pas un seul pays dans la région n’est en mesure de faire face en solitaire à des niveaux de pollution comme ceux du Wakashio.
Les coûts financiers, techniques et humains d’une préparation adéquate sont considérables et demandent aussi de la constance, c’est-à-dire qu’il est nécessaire de tester les dispositifs, de vérifier régulièrement l’état des équipements, de former continuellement les agents responsables ou encore de consolider les collaborations, d’une part, entre les agences nationales et, d’autre part, avec les administrations des pays, organisations et centres techniques de la zone voire au-delà. » a souligné Pr. Vêlayoudom Marimoutou, Secrétaire général de la COI, à l’ouverture de l’exercice MASEPOLREX23.
Durant toute la semaine, les différents exercices conduits sur site ont permis de discuter, tester et évaluer :
Les temps de réaction, de mobilisation et d’exécution
L’effective coordination des actions
La disponibilité
La circulation et l’analyse de l’information
La clarté des responsabilités et rôles de chaque acteur
La qualité et l’adéquation des matériels, formations et technologies.
La COI, qui a organisé MASEPOLREX23, a coordonné l’ensemble des activités avec les membres de l’Exercice Control Group posté au siège de l’organisation à Ebène. L’ECG était le point nodal des opérations en lien constant avec le National Disasters Risk Reduction & Management Centre de Maurice, les équipes déployés sur les sites de pollution marine simulée et les Centres régionaux CRCO et CRFIM.
Les 27 et 28 septembre, les moyens navals et aériens de Maurice ont été déployés sur les sites d’exercice au large de Rivière Noire dans l’ouest de l’île. Des bouées ont été installées en mer, des mesures effectuées, des survols opérés, des images et informations échangées. Les opérations se sont déroulées tant en haute mer que dans le lagon. En effet, les actions diffèrent selon les sites.
Des évaluateurs indépendants de l’ITOPF, du SAMSA et de l’OSRL ont assisté à toutes les phases de l’exercice. Ils ont pu évaluer le degré de préparation, les capacités effectives de réponse et ainsi établir des recommandations pour fluidifier les phases de coordination et d’opération.
De l’avis de tous, MASEPOLREX23 a confirmé l’importance et la nécessité de conduire ce type d’exercice de simulation plus régulièrement. De fait, des exercices sur table et sur le terrain pourront être organisés tant au niveau national que régional. Pour la COI, la dimension est incontournable dans la mesure où les États de la zone ne disposent pas des capacités financières, humaines, technologiques et matérielles pour agir isolément. La coopération est indispensable.
Les représentants du Kenya ont d’ores et déjà indiqué leur disponibilité à accueillir un exercice régional similaire en 2024.
La section PCR du Port apprend avec une profonde tristesse le décès de Nadia PAYET, ancienne déléguée syndicale CGTR. Militante engagée et (…)
C’est avec tristesse que nous apprenons le décès de Nadia Payet, veuve de notre camarade Bruny Payet. Témoignages adresse ses condoléances à (…)
Mézami zot i koné lo kozman k’i di konmsa : « la loi sé lékspréssyon la volonté zénéral. ».Poitan défoi ou lé a’dmandé kossa i lé oziss volonté (…)
Face à l’urgence de la situation de la maltraitance animale à La Réunion, l’association CIANA a lancé un appel aux décideurs, afin de "travailler (…)
Mézami,médam, zé méssyé , la sossyété, lé pa toulézour wi gingn in bon akèye. Défoi oui, défoi non, sirtou dann in sossyété wi koné pa bien lo (…)
Cinq mois après le lancement du plan « Anti-bandes », composante majeure du plan d’action départemental de restauration de la sécurité au (…)
Le 16 juin 2025, le Tribunal administratif de Paris a suspendu en référé l’arrêté du 26 février 2025 ordonnant le blocage de 17 sites (…)
Les cours du pétrole ont connu une nette hausse à partir de la deuxième quinzaine du mois de juin, portés par l’extrême tension au Moyen-Orient et (…)
L’État poursuit son engagement en faveur de la transition énergétique et de la décarbonation de l’électricité à La Réunion. À l’issue d’un appel à (…)
Dans les départements d’outre-mer, près d’une femme sur deux qui devient mère ne vit pas en couple, configuration familiale bien plus fréquente (…)
Une fois de plus, des femmes sont la cible d’une forme de violence lâche, insidieuse et profondément inquiétante : les attaques à la seringue dans (…)
Mézami, mon bann dalon, mi panss zot i rapèl la mortalité, laba dann Moris, lo gran kiltirèl épi politik Dev Virashwamy ; li lé mor na pwin lontan (…)