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Conférence internationale de l’Observatoire des sociétés de l’océan Indien
20 novembre 2019
L’Observatoire des sociétés de l’océan Indien organise aujourd’hui et demain sa deuxième conférence internationale. Cet événement arrive à point nommé, quelques semaines après la visite du président de la République à La Réunion durant laquelle Emmanuel Macron avait décliné la nouvelle stratégie française s’appuyant sur La Réunion : l’axe indo-pacifique. Voici la présentation de cette conférence par ses organisateurs
L’Observatoire des sociétés de l’océan Indien – O.S.O.I. – est une fédération de recherches de l’Université de La Réunion. Créé en 2010, il regroupe 6 Unités de recherches et rassemble plus de 120 chercheurs spécialistes de droit, économie, sciences humaines, sciences sociales, science politique, littérature, linguistique, civilisation… Il tisse également un important réseau de partenariats internationaux. Les études disciplinaires et pluridisciplinaires de l’O.S.O.I. sont marquées du sceau des interconnexions internationales. Depuis sa création il a intensifié ses programmes de recherches et ses manifestations scientifiques permettant de produire des connaissances nouvelles sur les sociétés de l’océan Indien.
L’objectif premier de la conférence vise à définir et à appréhender les grands mouvements qui se produisent dans l’océan Indien en ce début de XXIe siècle. Ces mouvements (continuités/accélérations/ruptures…) peuvent concerner les individus, les idées/idéologies, la géopolitique, l’environnement, les échanges, les communications, les technologies… – Océan Indien : approche de l’océan et des pays bordiers, les études peuvent embrasser l’espace de l’Afrique du Sud à l’Australie, de l’Inde aux T.A.A.F, de la côte est de l’Afrique à l’Indianocéanie…
Cette manifestation se focalise sur l’histoire du temps présent et l’histoire immédiate de l’océan Indien au XXIe siècle. En ayant à l’esprit que « le présent vient souvent de loin », il s’agit d’examiner les oscillations ou les ruptures qui se sont construites en amont de ce présent de l’histoire immédiate.
Les communications peuvent également avoir des approches prospectives et étudier les tendances en devenir ou les scénarii qui se profilent. Elles étudient sur les savoirs, les croyances ou les discours sur le présent de l’océan Indien. Elles peuvent recouvrir des études sur les nations, les espaces insulaires, les organisations régionales. Le terme de transition interroge les évolutions (graduelle ou brutale) de/dans l’océan Indien. Il invite à examiner les mouvements, les passages, les transformations progressives à venir. L’analyse des transitions permet d’étudier les situations environnementales, économiques, politiques, historiques, géographiques… et les processus qui font et caractérisent les variations en formation. Le terme de mutation questionne les modifications, les transformations et les périodes, les contextes, les conjonctures… sur lesquels elles se déroulent.
Ces changements profonds, souvent radicaux et rapides, dessinent de nouvelles lignes, imposent de nouvelles contraintes. Les communications sur les transitions et des mutations sont ouvertes sur tous les champs des Sciences humaines et sociales mais aussi sur des approches d’autres disciplines scientifiques. Elles sont conduites à différentes échelles et approches (locale, nationale, régionale, globale…) et sous l’angle comparatif. Dans le cadre de cette conférence a été intégrée une session ouverte spécifiquement aux doctorants sur les études de l’océan Indien / Indian Ocean Studies. Cette conférence confirme ainsi le rôle international de l’Observatoire dans la connaissance des sociétés de l’océan Indien. Dans un contexte marqué par les débats sur les évolutions géostratégiques, géopolitiques du monde et la construction de l’axe Indo-Pacifique, cette conférence internationale trouve une place toute particulière et établit sa pertinence. Il s’agit bien dans ces premières années du siècle de signifier, d’étudier et de décrypter les marqueurs et les mouvements qui caractérisent les espaces et les sociétés de l’océan Indien.
En 2015, l’O.S.O.I. organisait un important colloque international (« Dire l’océan Indien ») suivi par une publication en deux tomes. Le projet de l’O.S.O.I. est de valoriser l’expertise issue de ces travaux et d’élever l’Université de la Réunion au rang d’expert dans la compréhension des sociétés de l’océan Indien. Un des objectifs opérationnels fixé consiste à valoriser et diffuser cette expertise en procédant d’une part à un état des recherches à partir de manifestations scientifiques, et d’autre part en rendant public ces travaux à travers des manifestations de valorisations et de diffusions des savoirs. L’O.S.O.I. est donc un lieu d’échanges et de débats. Trois axes thématiques (Risque et Développement, Territoires et Mobilité, Pouvoirs et Réseaux) organisent prioritairement cette plate-forme de savoirs sur le monde de l’océan Indien. Dans ce début du XXIe siècle quand s’affirment les dimensions et les connexions de l’Indianocéanie (politiques, culturelles, sociales, économiques, touristiques…) et le « grand océan Indien », l’O.S.O.I. se veut un laboratoire d’idées, un pôle de réflexions et de valorisation. Il souhaite intensifier son implication afin de faire de cette fédération de recherches un producteur et diffuseur de connaissances (site internet, études, revues, publications, MOOC, colloques…).
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