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Comité spécial de l’océan Indien
30 juillet 2005
Même si le Comité spécial de l’océan Indien (C.S.O.I.) n’a pas encore été en mesure d’obtenir un accord sur la manière d’appliquer la Déclaration de 1971 visant à faire de l’océan Indien une Zone de Paix, la validité et les objectifs de cette déclaration restent d’actualité, a déclaré le président élu du Comité, Prasad Kariyawasam, nouveau représentant permanent du Sri Lanka.
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Le Comité a adopté le rapport de ses travaux 2005 après avoir élu son nouveau président et deux vice-présidents. Prasad Kariyawasam (Sri Lanka) remplace à la présidence son homologue et ancien représentant permanent du Sri Lanka, Chithambaranathan Mahendran. Les vice-présidents élus sont MM. Adam M. Tugio (Indonésie) et Ben Milton (Australie). Le Comité a également décidé que Filipe Chidumo (Mozambique) continuerait à exercer les fonctions de vice-président et Modeste Randrianarivony (Madagascar) celles de rapporteur.
Par sa résolution 2832 de 1971, l’Assemblée générale avait déclaré l’océan Indien “zone de paix” d’où seraient exclues les rivalités et la compétition entre grandes puissances. Le nouveau président a indiqué qu’il poursuivrait ses consultations avec les membres permanents du Conseil de sécurité et les principaux utilisateurs maritimes, en vue d’un dialogue pour l’application de la déclaration, conformément à ce qui est demandé dans la résolution 58/29 du 8 décembre 2003. À cet égard, il a indiqué que la France, les États-Unis et le Royaume-Uni refusent malheureusement toujours de reprendre leur participation aux travaux du Comité.
Plus de temps pour les consultations officieuses
Le Président a particulièrement salué les exemples de coopération régionale en place au niveau économique et social en citant, entre autres, l’Association des Nations d’Asie du Sud-Est (ANASE) et l’Association sud-asiatique de coopération régionale (ASARC). Il a souhaité que l’on saisisse l’opportunité de la réforme des Nations Unies pour demander à l’Assemblée générale de permettre au Comité spécial d’allouer plus de temps aux consultations officieuses à mener pour l’application de la Déclaration de 1971. Le représentant de l’Indonésie a salué la contribution du Sri Lanka à la présidence de ce Comité, pendant plusieurs années, et a suggéré de lancer des initiatives de coopération au niveau de l’océan Indien dans plusieurs domaines pouvant bénéficier aux populations, citant en exemple les partenariats nés suite au tsunami.
Soutien de la Chine
De son côté, le représentant de la Chine a formé le vœu que cet objectif de “zone de paix” de l’océan Indien se concrétisera dans l’intérêt de la paix et de la stabilité dans la région. S’il a mis l’accent sur la nécessité de ne pas s’armer au-delà des besoins de la défense nationale, celui de l’Australie a souligné la nécessité de renforcer la coopération régionale dans l’intérêt de la paix et de la sécurité, en souhaitant l’adoption d’un programme de travail préalablement à tout travail de fond.
Le Comité spécial de l’océan Indien est un organe subsidiaire de l’Assemblée générale des Nations Unies, créé en 1972. Ayant voté contre l’adoption de cette Déclaration, les États-Unis, la France et le Royaume-Uni ont cessé de participer aux travaux du Comité spécial, le 6 avril 1990. À la date du 1er décembre 1999, le mandat général du Comité a cependant été renouvelé. Initialement composé de 15 membres au maximum, le Comité a été élargi à 46 membres le 6 mai 1987, puis ramené à 43 membres après les retraits américain, français et britannique.
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