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4 juillet, parMézami, mon bann dalon, si in zour in listorien i désside rakonte anou bien konm k’i fo listoir La Rényon, mwin lé sirésèrtin li va parl anou (…)
23 septembre 2008
Un nouveau programme d’appui aux initiatives de développement de la diaspora malgache à La Réunion motive la venue dans notre île, cette semaine, de deux émissaires de l’Ambassade de France à Madagascar.
Le programme repris par le Ministère de l’Immigration, de l’Intégration, de l’Identité nationale et du Développement solidaire, actuellement échu à Brice Hortefeux, avait été initié par celui des Affaires étrangères et européennes, qui a obtenu que Madagascar fasse partie des pays éligibles à un programme de co-développement financé par le Fonds de Solidarité Prioritaire (FSP). Ce projet destiné à appuyer le renforcement de l’action au développement des associations de solidarité internationale a approuvé en 2007 trente-trois dossiers de coopération non-gouvernementale, dont sept concernent l’Afrique de l’Est et l’océan Indien.
Le parcours est très institutionnel, au moins au lancement du projet, mais les vrais bénéficiaires doivent être, selon le MAE, « les populations confrontées à des services techniques et des institutions souvent défaillants, au développement notoirement insuffisant des équipements sociaux, des activités productives et à de profondes carences en matière d’éducation et de formation ».
Les circuits de la diplomatie française s’appuient pour la réalisation de ces programmes sur des ONG ou des associations travaillant en partenariat avec des acteurs locaux.
C’est ce qui motive la venue à La Réunion cette semaine de deux envoyés de l’Ambassade de France à Tananarive, Valérie Baudhuin et Philippe Latapié. Ils viennent présenter le programme et identifier ceux des acteurs de la solidarité susceptibles de faire le pont entre La Réunion et Madagascar.
Avant plus amples informations données par les émissaires eux-mêmes au terme de leur mission, le programme est destiné à soutenir des projets portés par la diaspora malgache présente à La Réunion.
D’un montant de 300.000 euros (2 millions de FF), il est réparti sur quatre composantes :
• l’appui au développement local est destiné au cofinancement de microprojets décidés à Madagascar en partenariat avec les associations de migrants présents à La Réunion ;
• l’accompagnement des initiatives économiques des migrants vise à appuyer des initiatives de personnes privées (d’origine malgache) ayant un projet de création d’entreprise
• la mobilisation de la diaspora hautement qualifiée, pour des projets d’échanges entre La Réunion et Madagascar
• l’appui à des associations de jeunes issus de la diaspora malgache.
Les deux chargés de mission de l’Ambassade de France à Antananarivo viennent pour expliquer le programme, en préciser certains contenus et commencer à identifier les partenaires.
P. David
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