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29 novembre 2007
Les îles Maurice et La Réunion ensemble pour répondre efficacement aux défis que notre région de lOocéan Indien doit affronter. Oui, mais l’acte de partenariat ne peut se limiter aux seuls intérêts économiques. Hier, dans le cadre de la mise en œuvre de la convention de coopération éducative entre l’île Maurice et notre île, cela a été réaffirmé.
Sir Dharambeer Gokhool, Ministre mauricien de l’Education et des Ressources humaines, faisait une visite au pas de course. Visite d’un établissement scolaire, entretien avec le Recteur, signature d’un avenant à la convention de coopération éducative, c’est en effet un programme chargé qui a attendu le ministre. Conviée à la signature, la presse n’aura pas manqué d’entendre l’éloge à la coopération régionale, celle qui se réalise, celle qui se révèle dans la réalité, celle qui est dynamique. La coopération éducative entre La Réunion et l’île sœur nous ramène à 1996. Quoique certains puristes de l’histoire de l’archipel des Mascareignes souligneraient que déjà sous Bourbon les Réunionnais allaient à Maurice pour s’instruire, comme plus tard ils iront à Madagascar, et aujourd’hui en Europe. Mais bon, là n’est pas le propos.
Nous parlons de coopération éducative, menée depuis 11 ans, avec des réalisations aussi diverses que la création de Zone d’Éducation Prioritaire (ZEP) à Maurice, la mise en place d’un enseignement préscolaire et à la formation de personnel d’encadrement, l’expertise pour l’organisation d’un enseignement professionnel et technique au lycée de Flacq et notamment sur la mise à jour de la formation du personnel d’encadrement dans certaines matières (STI), l’accord particulier entre l’IUFM de La Réunion et le Mauritius Institute of Education (MIE), ainsi que la formation des conseillers d’orientation des établissements à programme français. En 2005, la coopération éducative entre les deux îles a connu une autre allure, soutenue, et se poursuit jusqu’à aujourd’hui.
Qui intervient où ?
La France et La Réunion assurent de leur volonté de poursuivre cet échange. « C’est la poursuite d’une convention déjà riche », déclare François Foti, Attaché à la coopération éducative à l’Ambassade de France à Maurice. Pour autant, il s’agissait de fixer les grandes priorités de cette coopération pour les deux années à venir. 6 domaines d’intervention constituent ces priorités : d’abord, l’appui aux systèmes éducatifs, et notamment l’éducation prioritaire, l’orientation et l’insertion des jeunes, l’intégration scolaire des enfants à besoins spéciaux, les technologies de l’information et de la communication et de l’enseignement des sciences, la formation professionnelle et technologique, la formation initiale et continue des personnels et l’enseignement supérieur. Mais au fait, juste une question : c’est bien l’île Maurice qui vient soutenir notre système éducatif ? Au vu du retard connu par notre système d’éducation...
Bbj
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