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Concrétisation de l’accord cadre Région-Kwazulu Natal
1er juin 2004
Arrivée dimanche dans notre île, la Fédération tamoule du Kwazulu Natal a jusqu’au 6 juin pour honorer un panel de rencontres destinées à favoriser les échanges culturels et économiques entre l’Afrique du Sud et La Réunion. Une visite pleine de promesses pour l’avenir de La Réunion et pour la communauté tamoule de notre île, en mal de reconnaissance.
À l’espace culturel et social du Koyil de Saint-Denis, les membres de la FAGRHCTR (Fédération des associations et groupements religieux hindous et culturels tamouls de La Réunion) et de la Fédération tamoule du Kwazulu Natal, en Afrique du Sud, ont pu échanger sur les problématiques culturelles des deux pays, durant la matinée d’hier.
Bien que l’Afrique du Sud ait subi de longues années d’apartheid, le processus de reconstruction, enclenchée depuis 10 ans, laisse une large place à la reconnaissance et au développement des expressions culturelles qui composent le pays, afin de favoriser la cohésion sociale. Le gouvernement sud africain encourage ainsi la promotion de la langue tamoule, son apprentissage dans les écoles, dans le respect et la protection de la culture hindoue. De même, les hindous du Kwazulu apprennent et partagent la culture et la langue zoulou.
À La Réunion, la départementalisation semble avoir occulté cette démarche de reconnaissance des différentes composantes culturelles réunionnaises, et la communauté hindoue de notre île déplore que le gouvernement n’offre pas les outils institutionnels de son expression. Ainsi, la province du Kwazulu Natal s’offre en exemple aux tamouls de La Réunion, qui espèrent développer des échanges culturels, mais aussi économiques avec notre pays voisin et frère. Le président de la Fédération tamoule du Kwazulu Natal, Bala Naidoo, voit l’opportunité d’"union des cultures", d’une création de plate-forme, favorable au développement de la jeune génération. Il espère que de solides liens pourront se tisser avec La Réunion, pour que le gouvernement prenne en compte les attentes et les besoins des Réunionnais de descendance tamoule et qu’au même titre que les temples et les centres culturels, la langue soit protégée, enseignée, mais aussi et surtout parlée.
La proximité entre les deux pays offre des opportunités économiques. Pour Julien Ramin, vice-président de la fédération, "depuis trois siècles, les regards se tournent toujours vers le Nord, aujourd’hui, ils vont en direction de notre bassin. Dans une génération, La Réunion comptera un million d’habitants et la mobilité en direction du Sud ne peut être que profitable à notre jeunesse".
Rajen Reddy, chef d’entreprise en Afrique du Sud, accrédite ces propos et souhaite que des relations économiques et des échanges de compétences puissent se développer entre les deux pays proches, développant ainsi les capacités d’une jeunesse compétitive et hautement qualifiée.
Marc Cadivel, président du la fédération, souligne que la venue de cette délégation, composée d’une quinzaine de membres, s’inscrit pleinement dans l’accord-cadre signé en juillet 2003 entre la Région et la province du Kwazulu Natal. Cette démarche est fortement appréciée et félicitée pour le champ d’actions qu’elle offre et son aspect visionnaire pour l’avenir des deux pays.
La fédération tamoule d’Afrique du Sud et celle de La Réunion souhaitent relever le "défi de la mondialisation" en réfléchissant aux modalités d’un partenariat économique pour rejoindre les objectifs énoncés dans l’accord-cadre à savoir, "cohérence, compétitivité et ouverture".
Estéfany
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