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Du 25 au 28 juillet aux Seychelles
28 juillet 2023
Élaborer une feuille de route commune pour renforcer les actions coordonnées en mer est l’un des principaux objectifs de l’exercice régional de lutte contre la pollution maritime dans l’océan Indien occidental (WIOPOLREX), qui se déroule aux Seychelles du 25 au 28 juillet 2023. Cet exercice vise à renforcer les systèmes nationaux de prévention et de réponses en vue d’une coopération régionale efficace lors des incidents majeurs de pollution maritime.
La cérémonie de lancement de l’exercice régional de lutte contre la pollution maritime dans l’océan Indien occidental (WIOPOLREX) a eu lieu ce mardi 25 juillet 2023 aux Seychelles en présence du Secrétaire principal au Ministère de l’Agriculture, du Changement climatique et de l’Environnement de la République des Seychelles, du Chef de la coopération de la délégation de l’Union européenne (UE) à Maurice, du Chargé d’affaires de l’Ambassade des États-Unis à Maurice et aux Seychelles et du Directeur de la Commission de l’océan Indien (COI).
Organisé par le Centre régional de coordination des opérations (CRCO) et le Centre régional de fusion d’information maritime (CRFIM) — deux organes exécutifs de l’Architecture de sécurité maritime pour l’océan Indien occidental — l’exercice régional sur table (TTX) a rassemblé les États signataires des Accords MASE1 ainsi que les Maldives, le Mozambique, l’Afrique du Sud, la Tanzanie, le Yémen, l’Inde, le Royaume-Uni et les États-Unis. Des partenaires internationaux activement impliqués dans le domaine maritime y participent également, à savoir l’Organisation maritime internationale (OMI), la Convention de Nairobi, l’Office des Nations unies contre la drogue et le crime (ONUDC) et les Forces navales européennes — Opération Atalanta entre autres.
L’exercice de simulation régional fait partie du plan d’action global des deux centres régionaux visant à examiner leur capacité de coordination et d’intervention en cas d’incidents de pollution maritime, avec les États de la région, et à renforcer le mécanisme régional de partage d’informations et d’opérations conjointes en mer, qui est mis en œuvre par la COI dans le cadre du programme régional de sécurité maritime (MASE2) financé par l’Union européenne. programme MASE est mis en œuvre par l’IGAD, le COMESA, l’EAC et la COI. La COI est responsable de la mise en place d’une architecture de sécurité maritime basée sur l’échange d’informations et la coordination d’opérations conjointes en mer.
Cette mobilisation de grande ampleur démontre la volonté des États et des partenaires de développer une approche collective face aux incidents de pollution maritime dans la région en vue d’améliorer la coordination et l’interopérabilité.
Les leçons tirées des incidents passés dans la région, en occurrence le naufrage du MV Wakashio au large des côtes de l’île Maurice ainsi que d’autres situations de naufrages et/ou de dérives survenues dans les pays voisins, indiquent clairement qu’un pays ne peut à lui seul faire face à tous les niveaux d’incidents de pollution maritime. L’exercice est l’occasion pour les États participants d’examiner leur niveau de préparation, leur stratégie en matière de pollution maritime, ainsi que leur capacité à partager des informations et à mettre en œuvre des réponses conformément à leur plan de contingence national respectif en cas de déversement d’hydrocarbures.
Dans ce contexte, le soutien technique des partenaires internationaux, que ce soit en matière d’échange d’informations pour améliorer la connaissance du domaine maritime ou de partage des bonnes pratiques, est déterminant pour renforcer les capacités nationales et régionales. Les Seychelles, par exemple, ont récemment bénéficié “d’un soutien technique de la Convention de Nairobi dans le cadre du projet SAPPHIRE pour revoir leur plan national de contingence contre le déversement d’hydrocarbures. D’ici 2024, les Seychelles espèrent disposer d’un nouveau plan opérationnel et optimisé, prêt à faire face aux enjeux de la pollution maritime », a annoncé Denis Matatiken, secrétaire principal au Ministère de l’Agriculture, du Changement climatique et de l’Environnement de la République des Seychelles.
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