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5 février 2015, par
Le 11 septembre 2001, les tours du World Trade Center à New-York sont frappées par des avions de ligne détournés. Le Pentagone est également touché par un avion, tandis qu’un autre s’est écrasé après avoir été lui aussi détourné. La recherche des responsabilités a alors commencé. Le président US de l’époque, George Bush, avait alors rapidement et publiquement dénoncé les commanditaires : Al Qaeda. Le 21e siècle commençait à peine, et le commandant en chef des armées US a alors lancé une guerre mondiale. C’était la « croisade » contre le terrorisme. La première cible était l’Afghanistan. L’OTAN est alors mis à contribution pour bombarder afin d’ouvrir la voie aux opposants des Talibans. Ces derniers sont chassés du pouvoir mais ne seront jamais vaincus. 13 ans plus tard, l’OTAN s’est retiré en ayant perdu la bataille.
L’autre coupable désigné par George Bush était l’Irak. Ce pays était accusé de fabriquer et de détenir des armes de destruction massives. Colin Powell, ministre des Affaires étrangères de Bush, s’était alors ridiculisé en présentant des preuves montées de toutes pièces pour tenter de faire plier le Conseil de sécurité de l’ONU. L’épisode de la fiole est resté dans l’histoire. Colin Powell a admis que ce mensonge restera gravé à jamais dans sa carrière politique, une flétrissure que rien ne pourra effacer.
Pour lancer la guerre contre l’Irak, l’OTAN a dû faire face aux opinions largement opposées à ce conflit. Dans plusieurs pays, des manifestations sans précédent avaient mis des millions de personnes dans la rue sous le mot d’ordre « Pas en mon nom ». Bush est alors passé en force, entraînant quelques autres commandants en chef dans l’aventure. Vaincu rapidement, le pouvoir irakien a laissé place à un protectorat US. Mais comme pour l’Afghanistan, l’OTAN a fini par se retirer laissant l’Irak se décomposer. Sur ce terreau a prospéré l’État islamique.
Un nouveau coup vient d’être porté aux instigateurs de la croisade contre le terrorisme. 28 pages d’un document cachées depuis plusieurs années disent que l’Arabie Saoudite a financé les pirates de l’air du 11 septembre 2001. Cette annonce intervient quelques jours après que les chefs d’État et de gouvernement de l’OTAN se soient rendus dans ce pays pour soutenir cette dictature.
Le scandale est si grand que même CNN s’y met. La chaîne a publié un compte-rendu d’audition du seul pirate de l’air suspecté survivant : le Français Zacharias Moussaoui. Dans Al Qaeda, son travail était d’entrer dans une base de donnée les identité des généreux donateurs. CNN affirme que le Français a donné des noms. CNN cite un prince de la famille royale, ancien ambassadeur d’Arabie Saoudite aux États-Unis. Zacharias Moussaoui se présente comme l’ancien messager de Ben Laden en Arabie Saoudite. Il dit qu’il voyageait en jet privé et qu’il rencontrait les donateurs dans les palaces saoudiens.
En réponse, le gouvernement saoudien a dit que le Français est un dérangé mental.
CNN annonce aussi que trois anciens responsables de l’époque de Bush, dont l’ancien secrétaire de la Marine, sans confirmer les détails vont dans le même sens. L’un d’entre eux a clairement écrit que des liens existaient entre plusieurs pirates de l’air et le gouvernement saoudien.
Au lendemain de la chute des tours de New-York, Bush avait désigné des coupables. 13 ans après, tout s’effondre. Et c’est un des principaux alliés de Washington qui est suspecté.
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