
Assemblée générale de la section PCR de Sainte Suzanne
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4 juillet 2016, par
Le 20 juin dernier, Ameenah Gurib-Fakim, présidente de la République, participait à l’ouverture du Forum des Femmes. Cette manifestation avait pour but de mettre en avant les questions de l’atténuation et de l’adaptation au changement climatique. La présidente de Maurice a pris la parole pour décrire les effets du changement climatique sur son pays. Voici quelques extraits de son discours.
« Une hausse de 2 degrés de la température mondiale devrait entraîner une baisse de 13% de la quantité d’eau potable et une réduction de 30% de la production agricole à Maurice »
« Le niveau de la mer a déjà connu une hausse de 6 mm, ce qui est plus élevé que la moyenne internationale. De même, durant les dernières décennies, la température a connu une hausse de 1,1°C dans l’île, alors que la moyenne mondiale est de 0,85°C. Le taux de pluviosité a en outre connu une baisse de 8% et ce alors que les pluies sont plus intenses et plus fréquentes, avec des risques accrus d’inondations ».
« Le poids porté par les pays en développement, ainsi que les pays les plus pauvres et les plus vulnérables est disproportionné par rapport à leurs contributions au réchauffement climatique »
Maurice ne se situe qu’à 200 kilomètres de La Réunion. Notre île est confrontée aussi au problème de l’eau. Si la ressource diminuait dans les mêmes proportions qu’à Maurice, alors les conséquences seront plus importantes ici, car la population va augmenter d’environ 20 % au cours des 20 prochaines années. Les risques d’inondation est également amplifié à La Réunion par le relief. Autrement dit, à Maurice et dans d’autres îles, se préparer aux effets du changement climatique est une question posée en plus haut lieu. À La Réunion, la Région préfère construire une route en mer sans savoir de combien s’élèvera le niveau de l’océan Indien dans quelques décennies...
J.B.
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