
Assemblée générale de la section PCR de Sainte Suzanne
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21 octobre 2017, par
Deux informations dramatiques viennent une nouvelle fois démontrer les conséquences d’un mode de production et de consommation dangereux pour l’humanité.
La première est une étude parue dans la revue scientifique « Lancet ». Elle annonce qu’en 2015, 9 millions de personnes ont trouvé la mort à cause de la pollution. C’est trois fois plus que le SIDA, la tuberculose et le paludisme réunis, constate les auteurs. Cela fait 16 % des décès comptabilisés dans le monde.
C’est la pollution de l’air qui prélève la part la plus importante. Elle a tué en 2015 6,5 millions de personnes. Elle est à l’origine de cancers du poumon, de maladies cardiaques ou d’AVC. Vient ensuite la pollution de l’eau, responsable de 1,8 million de décès. La raison est le manque d’accès à l’eau potable. 800.000 personnes perdent la vie à cause d’exposition à des matières toxiques sur leur lieu de travail. L’étude constate que 92 % des décès ont lieu dans les pays en voie de développement. Madagascar est particulièrement touchée. Un quart des décès sont attribués à la pollution.
La pollution est une conséquence directe des activités humaines. Elles transforment l’air que l’on respire et l’eau que l’on boit, deux éléments nécessaires à la vie, en poisons mortels. Le lien avec le mode de production dominant est établi. Avec la croissance de la population et l’extension de ce mode dans le monde, le nombre de décès continuera d’augmenter.
La seconde information concerne le Portugal. Pour la seconde fois en quatre mois, ce pays d’Europe est la cible d’incendies meurtriers. La précédente catastrophe avait fait 64 morts. Les feux de forêts actuels ont déjà tué 44 personnes. Là aussi, le lien avec le mode de production est établi. Il change le climat, augmentant la température moyenne de la Terre. Les sécheresses se multiplient, et le Portugal n’a pas le temps de s’adapter à la nouvelle donne. Les services de secours sont débordés, et le gouvernement est cité sur le banc des accusés. Ces feux sont aussi une catastrophe pour la biodiversité. Dans les circonstances les plus favorables, il faudra des dizaines d’années pour reconstituer les forêts détruites qui sont autant d’usines naturelles à fabrication d’oxygène, composant indispensable à la vie sur Terre.
Il est donc urgent de changer de mode de production, ce qui passe par une rupture avec l’exploitation de l’homme et de la nature par d’autres hommes.
J.B.
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