
Assemblée générale de la section PCR de Sainte Suzanne
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10 mars 2018, par
La presse d’hier s’est fait l’écho de la spectaculaire augmentation des bénéfices des entreprises du CAC40. La « une » du monde reprend même ce chiffre : 91 930 000 000 d’euros. Soit près de 92 milliards d’euros, une hausse de plus de 20 % en un an, et de 78 % par rapport à 2015. Ces profits se rapprochent de ceux de 2007, 96 milliards, c’était avant que la crise des subprimes s’étende.
Force est de constater que la crise n’est pas pour tout le monde. Cette croissance des bénéfices s’effectue au profit des actionnaires. Les travailleurs sont les derniers servis. Rappelons en effet que la crise des subprimes avait été le prétexte choisi pour accentuer la politique d’austérité. Les États ont volé au secours des banques qui s’étaient engagées dans des opérations hasardeuses. Dans le même temps, la dette publique a augmenté tandis que la Banque centrale européenne a produit des milliers de millards d’euros affectés principalement à la spéculation.
Aujourd’hui, les bénéfices des entreprises du CAC40 retrouvent les niveaux d’avant la crise des subprimes. Mais pendant ce temps, le chômage a augmenté, les droits des travailleurs ont été sabrés par la loi El-Khomri et les ordonnances changeant le Code du travail. Un autre volet de cette politique d’austérité a ciblé les chômeurs. C’est la diminution drastique des emplois aidés co-financés par l’État.
Une fois de plus, la question de la répartition des richesses est posées. Les bénéfices du CAC40 rappelle la situation d’avant la crise des subprimes. Le FMI dit même craindre une crise plus brutale qu’en 2008, a d’ailleurs souligné Pierre Larrouturou lors de sa conférence mardi à l’Université. Mais pendant que les forces du capital ont pu se reconstituer, les droits des travailleurs ont baissé.
J.B.
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