
La vérité lé tétu ! i pé pa tourn ali lo do kontinyèlman !
4 juillet, parMézami, mon bann dalon, si in zour in listorien i désside rakonte anou bien konm k’i fo listoir La Rényon, mwin lé sirésèrtin li va parl anou (…)
13 février 2019, par
C’est par un communiqué que la population a appris le rôle de l’épouse du Président. Ce sera un rôle protocolaire. Ce sujet faisait beaucoup débat car l’épouse du Président sortant était très critiquée. Selon le journal “la Tribune”, “accusée à tort ou à raison d’avoir profité de son statut pour s’octroyer certains privilèges et de s’être immiscé dans les affaires de l’Etat, l’ancienne première dame a eu du mal à attirer la sympathie de ses compatriotes”.
La présidence précise qu’elle ne percevra aucune rémunération et ne disposera pas d’un cabinet et de budget lié, contrairement à l’exercice précédent. L’affaire est tellement sensible que la présidence prend la peine d’écrire ceci : “Elle s’interdit, de quelque manière que ce soit, toute immixtion dans les affaires de l’État et s’abstient d’effectuer toute intervention sur une autorité ou sur l’administration publique en général”.
La frontière ne sera pas simple à respecter. Elle sera autorisée de disposer d’une assistante pour gérer son agenda et l’accompagner dans ses déplacements. En effet, « le principal devoir de la Première dame est de soutenir le président de la République, dans la réalisation de cette noble mission en l’accompagnant lors de représentations officielles ». Cependant, il lui sera autorisé d’agir au service du pays à travers son association et de sa plateforme d’actions.
Aussi, s’il faut se féliciter de cette mise au point dans le souci de transparence des affaires publiques, le débat n’est pas terminé sur le fond car on continue à parler de “la première dame”, “l’épouse du chef de l’Etat”, “la femme du président”. C’est déjà bien de préciser qu’elle aura un rang protocolaire comparé aux frasques de la dame de l’Elysée.
J.B.
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20 février 2019, 20:56
La corruption continue de progresser à Madagascar. C’est le constat de Transparency International. Le pays recule de 10 places par rapport à l’année dernière dans le classement établi par l’ONG qui mesure l’indice de perception de la corruption dans 180 pays. Madagascar est classé 155ème. Malgré les efforts et les structures mises en place pour lutter contre cette corruption qui gangrène toutes les couches de la société, la Grande île reste l’un des pays les plus corrompus au monde.