
Sept prix Nobel d’économie exhortent la France à adopter un impôt sur les ultrariches
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24 août 2020, par
Lors de son accession au sommet du Parti Communiste Chinois, et donc à la tête de l’État, Xi Jinping devint également Chef de l’Armée. Il posa alors aux généraux militaires une question théorique dont les implications sont très pratiques : l’armée doit-elle sa loyauté à l’État ou au Parti ?
Quel est l’intérêt de cette question dans notre situation ?
Un parti est porteur d’un idéal qu’il traduit dans un programme politique et électoral. Des militants participent à des scrutins électoraux, au nom du parti, dans le cadre de ce programme. Le cas échéant, leur loyauté doit-elle aller au Parti ou à la collectivité dont ils sont élus ? La question est d’importance notamment lorsque le parti prévoit la remise en cause des pratiques de ces collectivités.
Certains, une fois élus, oublient rapidement ce pour quoi le parti leur a donné son investiture. Pour justifier leur forfaiture, deux arguments sont généralement invoqués.
Le premier en appelle à la « realpolitik » et prétend que face à la réalité réelle du terrain, aux considérations sociales pragmatiques et aux (im)possibilités budgétaires ou opérationnelles, les ambitions du parti doivent être différées.
Le deuxième postule que le pouvoir vient du peuple et que, par conséquent, la loyauté de l’élu va aux électeurs qui lui ont accordé leur confiance ; omettant celle, primaire, du parti et des militants qui ont mené sa campagne.
En somme, depuis qu’ils sont élus, la Lumière leur est apparue. Ce qu’ils réclamaient en étant dans l’opposition devient impossible maintenant qu’ils sont dans la majorité ; ils ont découvert que le peuple, qui les a élus sur le programme du parti, a des attentes qui commandent de ne rien changer à ce que les élus précédents faisaient.
En Chine, l’armée a affirmé que sa loyauté va au Parti.
Philippe Yée-Chong-Tchi-Kan
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