
Mal-do-mèr dann sarèt
28 juin, parLo zour la pokor kléré, Zan-Lik, Mariz é sirtou Tikok la fine lévé, mèt azot paré. Madanm Biganbé i tir zot manzé-sofé, i donn azot, zot i manz. (…)
10 avril 2006
C’est aujourd’hui que les dirigeants de l’État et du gouvernement doivent annoncer leur décision concernant la proposition de loi sur le Contrat première embauche (CPE). Selon tous les observateurs, cette annonce sera décisive pour sortir ou non de cette crise, qui dure déjà depuis plus de 2 mois et qui crée de nombreux problèmes dans le pays. Des problèmes dont le gouvernement porte l’entière responsabilité par son attitude non-démocratique.
En effet, tout au long de ce conflit, la démonstration a été faite par la puissance de la mobilisation populaire que dans leur grande majorité, les Français ne veulent pas du CPE. Ils savent que ce contrat remet en cause les principes du Droit du travail et institutionnalise la précarité de l’emploi pour mieux s’adapter à la mondialisation des marchés dans l’intérêt des patrons.
Devant la protestation des salariés et des jeunes, qui ne s’arrête pas et qui n’est pas près de s’arrêter, de plus en plus de voix s’élèvent - y compris parmi les défenseurs du système capitaliste - pour dire au gouvernement qu’il arrête son petit jeu de poker menteur. C’est par exemple Valéry Giscard d’Estaing, ancien président de la République, qui demande au gouvernement d’abroger la loi sur le CPE pour "sortir de ce bourbier". C’est le cas aussi du président de l’UDF, François Bayrou, pour qui "ne pas abroger ce texte ce serait jeter un bidon d’essence dans le feu".
Le moment est donc venu pour le gouvernement et sa majorité UMP de tirer les enseignements de cette opposition générale à sa loi et de tenir compte de la volonté de la population. Le pays est en droit d’attendre une seule annonce aujourd’hui : abrogation !
L. B.
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