
Un effort supplémentaire de 5 milliards d’euros nécessaire cette année
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1er juin 2017
À 18 heures, heure de Washington, Donald Trump doit donner sa position au sujet de l’Accord de Paris. Lors de sa campagne électorale, le président des États-Unis n’avait pas fait mystère de sa volonté de remettre en cause la ratification de cet accord par son pays. Lors du sommet du G7, il a pu constater que les autres membres de cette instance étaient motivés pour appliquer ce traité international.
Signé en décembre 2015, l’Accord de Paris marque une prise de conscience internationale. La lutte contre le changement climatique est devenue une priorité mondiale. Pour que ce traité entre en vigueur, il fallait qu’il soit ratifié par plus de 55 % des États membres de la Convention des Nations unies sur le changement climatique, représentant plus de 55 % des émissions de gaz à effet de serre. Cela implique l’adhésion des principaux pollueurs du monde au premier rang desquels se trouvent les États-Unis qui avaient refusé de ratifier le Protocole de Kyoto.
Juste avant le début du sommet du G20 en Chine en novembre 2016, la Chine avait fait le geste décisif en ratifiant l’Accord de Paris. Cela a entraîné une décision analogue des États-Unis, puis de l’Union européenne et de l’Inde. L’Accord de Paris est donc entré en vigueur, et il peut désormais être opposable à toute décision d’une institution publique comme un État ou une collectivité.
Dans l’état actuel, l’Accord de Paris prévoit qu’un État signataire puisse le dénoncer, mais sa sortie ne peut pas intervenir avant 2020. C’est ce qui dit le droit, mais dans les faits le gouvernement des États-Unis peut très bien ne pas le respecter et mettre en œuvre dès maintenant une politique soutenant le développement de l’utilisation du charbon et du pétrole. Car les gouvernements qui se succèdent à Washington ont à maintes fois montré leur volonté de ne pas respecter le droit international pour faire prévaloir des intérêts particuliers.
La sortie de Washington de l’Accord de Paris sera un mauvais signal, susceptible de briser une dynamique comme l’a récemment indiqué Jean Jouzel, ancien directeur de l’Observatoire national sur les effets du réchauffement climatique (ONERC) sous la présidence de Paul Vergès. Ce sera également une décision qui concernera La Réunion, car les pollutions d’aujourd’hui préparent les catastrophes de demain. En tant qu’île tropicale, La Réunion est particulièrement vulnérable aux effets du changement climatique. Cela se traduit notamment par la sécheresse et le risque accru du passage d’un cyclone tropical très intense.
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