
Un effort supplémentaire de 5 milliards d’euros nécessaire cette année
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18 avril 2018, par
Lors de la conférence d’hier à l’Université, une question a été posée au sujet de l’Accord de partenariat économique que l’Union européenne négocie avec les pays voisins. D’après la personne qui est intervenue, cet accord commercial ne pourra qu’être qu’une bonne chose pour La Réunion. Il permettra d’ouvrir de manière plus importante les marchés des pays voisins aux produits réunionnais alors que les importations en provenance de ces pays ont déjà un régime de faveur.
Dans sa réponse, Elie Hoarau a rappelé que le principal problème est que les Réunionnais ne sont pas acteurs des négociations. Ils ne peuvent donc pas décider quelles seront les produits qui pourront bénéficier d’une clause de sauvegarde temporaire. Or toute la production réunionnaise peut être potentiellement concurrencée par celle à plus bas coût venant des pays avec qui l’Union européenne négocie l’APE.
Ceci souligne en outre combien il est difficile dans ces conditions de faire entendre la voix de La Réunion. C’est ce que rappelle la filière canne-sucre. En 2008, l’Union européenne avait déjà prévu la fin des quotas sucriers. C’était une conséquence de la condamnation par l’OMC de son organisation de marché du sucre quelques années plus tôt. Or, en 2008, les industriels réunionnais tenaient des propos rassurants. Officiellement, ils considéraient que les Réunionnais n’avaient pas à s’en faire, car ce n’était pas le maintien du quota de 300.000 tonnes alloué à La Réunion qui allait bouleverser un marché européen de plus de 14 millions de tonnes.
Pourtant, malgré l’existence dans le Traité de Lisbonne de l’article 349 qui permet d’adapter les politiques européennes à La Réunion, les quotas sucriers ont été supprimés le 1er octobre 2018, y compris à La Réunion. Notre île n’a même pas eu droit à un délai supplémentaire. Cette suppression est la conséquence d’une décision prise par les gouvernements européens. Cela excluait donc de fait les Réunionnais des négociations, et la dernière protection est tombée.
De quoi faire réfléchir au sujet de l’APE.
J.B.
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