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29 janvier 2015, par
Dans un message à ses camarades de la Fédération des étudiants universitaire, Fidel Castro donne son point de vue sur le récent rapprochement survenu entre Cuba et les États-Unis. Les présidents Raul Castro et Barack Obama avaient pris simultanément la parole pour annoncer une rupture avec 50 ans d’affrontements. Il a été question de rétablissement des relations diplomatiques. Pour sa part, Obama allait soumettre au Congrès américain des propositions pour lever le blocus de Cuba. Aux États-Unis, ce blocus fait en effet partie de la loi. Ces annonces s’étaient concrétisées immédiatement par un échange de prisonniers.
Dans son message publié dans Granma, Fidel Castro revient tout d’abord sur la poignée de main entre Raul Castro et Barack Obama aux funérailles de Nelson Mandela, « combattant émérite et exemplaire contre l’Apartheid, qui était ami d’Obama. »
Il revient sur la lutte victorieuse menée aux côtés de l’Angola contre l’armée sud-africaine de l’apartheid, qui contribua à la chute du régime raciste.
« Le gouvernement d’Afrique du Sud, avec les plus grandes ressources financières de ce continent, possédait des armes nucléaires fournies par l’État raciste d’Israël, en vertu d’un accord entre celui-ci et le président Ronald Reagan qui l’autorisa à remettre les dispositifs pour l’utilisation de telles armes pour frapper les forces cubaines et angolaises qui défendaient la République populaire d’Angola contre l’occupation de ce pays par les racistes. De ce fait, on excluait toute négociation de paix alors que l’Angola était attaqué par les forces de l’apartheid, l’armée la mieux entraînée et équipée du continent africain.
Dans une telle situation, il n’y avait aucune possibilité de solution pacifique. Les efforts incessants pour liquider la République populaire d’Angola, pour la saigner systématiquement avec la puissance de cette armée bien entraînée et équipée, fut ce qui détermina la décision cubaine de frapper un grand coup contre les racistes à Cuito Cuanavale, une ancienne base de l’OTAN que l’Afrique du Sud tenta d’occuper à tout prix.
Ce pays arrogant fut obligé à conclure un accord de paix qui mit fin à l’occupation militaire de l’Angola et à l’Apartheid en Afrique.
Le continent africain fut exempt d’armes nucléaires. Cuba dut faire face pour la seconde fois au risque d’une attaque nucléaire. »
S’appuyant sur ce fait, le responsable cubain donne alors sa position vis-à-vis des discussions avec les États-Unis.
« Je n’ai pas confiance dans la politique des États-Unis et je n’ai pas échangé un mot avec eux, sans que cela signifie, tant s’en faut, un rejet d’une solution pacifique des conflits ou des dangers de guerre. Défendre la paix est un devoir de tous. Toute solution pacifique et négociée aux problèmes entre les États-Unis et les peuples, ou n’importe quel peuple d’Amérique latine, qui n’implique ni la force ni l’emploi de la force, devra être traitée selon les principes et les normes internationales. Nous défendrons toujours la coopération et l’amitié avec tous les peuples du monde et, parmi eux, ceux de nos adversaires politiques. C’est ce que nous réclamons pour tous. »
Fidel Castro soutient la position du gouvernement cubain et rappelle un principe : « les graves dangers qui menacent aujourd’hui l’Humanité devraient céder le pas à des normes compatibles avec la dignité humaine. Aucun pays n’est exclu de tels droits. »
C’est un appel à amplifier la lutte contre les inégalités à l’échelle du monde, pour que tous les êtres humains puissent bénéficier de l’égalité des droits avec comme point de départ la victoire contre l’apartheid.
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