
Assemblée générale de la section PCR de Sainte Suzanne
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4 juillet 2007
Hier matin à Paris, la sénatrice Gélita Hoarau a répondu à l’invitation de la Fédération des Sociétés d’Économie Mixte pour répondre à la question : « Quelles sont les attentes des élus ultra-marins pour les 5 années à venir ? ».
Les lecteurs de “Témoignages” trouveront le texte intégral de la réponse de l’élue réunionnaise en page 3 . Ils verront notamment comment elle expose en détail la multiplicité, la gravité et la complexité des différents problèmes auxquels La Réunion est confrontée à la fois dans l’urgence et dans les vingt ans à venir.
Le fait principal qui ressort de tous ces défis, c’est qu’ils ne sont pas comparables en quantité et en qualité à ceux des départements métropolitains. Les réalités géographiques, démographiques, économiques, sociales, culturelles et environnementales de notre île sont en effet très différentes de celles de l’hexagone.
Avant-hier, le philosophe et scientifique Yves Paccalet, de passage dans notre île, expliquait sur le réseau des radios associatives FAR que le caractère insulaire et tropical de La Réunion en fait « comme un concentré des problèmes planétaires ». Voilà pourquoi, « pour chaque décision législative, La Réunion doit être examinée de manière spécifique », affirme avec force Gélita Hoarau.
La prise en compte de cette spécificité de nos difficultés par tous les responsables est fondamentale pour la sénatrice. Elle souhaite donc deux choses essentielles :
1) que l’on puisse « obtenir de l’État, des forces vives de la République et des élus une perception commune de l’avenir de La Réunion » ;
2) « s’il y a cette perception commune, alors il convient de fixer les objectifs, de définir les moyens, de les atteindre et d’agir tous ensemble ».
Voilà les attentes des Réunionnais.
L. B.
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