
Un effort supplémentaire de 5 milliards d’euros nécessaire cette année
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29 juin 2005
Il y a des enseignements à tirer de ce qui s’est passé lundi après-midi à la préfecture à l’occasion de la réunion élargie de la Commission paritaire de la canne et du sucre. Et pas seulement pour sauver la filière canne.
Tout d’abord - et c’est le plus important -, devant le poids des faits et sous la pression du monde planteur, les différents acteurs et partenaires de la filière ont réussi à constituer un front commun. D’une part sur un principe de base : il faut tout faire pour assurer la pérennité de la culture de la canne à La Réunion. D’autre part sur une plate-forme d’action et de moyens à mettre en œuvre afin d’atteindre cet objectif partagé.
Toutefois, si l’on veut réussir sur cette voie, il vaut mieux éviter de tenir par la suite un discours peu clair et contradictoire, comme l’ont fait certains responsables politiques et professionnels. Par exemple, on ne peut pas dire que les planteurs n’ont plus d’inquiétude à avoir, et en même temps reconnaître que les agriculteurs ont été trompés par Bruxelles et par certains élus locaux sur la gravité de la menace qui pèse au-dessus de leur tête. De même, on ne peut pas à la fois plaider pour l’union sacrée en faveur de la filière canne, et en même temps jouer une carte “perso” en attaquant des partenaires.
Le fond du problème, c’est que ces personnes tiennent des propos et déterminent leur position non pas par rapport aux intérêts des petits et moyens planteurs et de La Réunion en général, mais par rapport à leurs amis politiques en Europe ou à La Réunion et par rapport à leurs adversaires politiques.
Ce problème, ce manque de cohérence et de logique, on le retrouve dans d’autres domaines de notre vie sociale, culturelle et politique. Et il découle de la même question : c’est quoi et qui notre référence ? Au service de quoi et de qui agissons-nous ?
L. B.
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