
La vérité lé tétu ! i pé pa tourn ali lo do kontinyèlman !
4 juillet, parMézami, mon bann dalon, si in zour in listorien i désside rakonte anou bien konm k’i fo listoir La Rényon, mwin lé sirésèrtin li va parl anou (…)
14 août 2012
L’inquiétude gagne les décideurs du monde entier face à l’inévitable augmentation des prix des céréales, fruits et légumes. Les médias titrent sur les conséquences pour les consommateurs, les agriculteurs et producteurs. Tous s’accordent sur la même analyse : la situation devient critique.
En effet, la production du blé, du maïs et du soja est victime de la sècheresse dans les vastes régions des États-Unis, de l’Inde, de la Russie, de l’Europe. Bientôt, l’Amérique du Sud connaîtra le même phénomène. Seulement aux États-Unis, on annonce près de 30% des récoltes en moins. Le risque de pénurie est évident.
Le spectre des scènes d’émeutes des années 2007-2008 hante encore les mémoires ; des gens affamés brandissaient des poignées d’herbes pour crier leur colère. Non seulement les prix des denrées étaient devenus inabordables, mais en plus, il y avait pénurie. Des gouvernements avaient été contraints de stocker et d’organiser des rationnements.
Les institutions internationales ont déjà tiré la sonnette d’alarme. Par exemple, au-delà des mesures traditionnelles connues en pareilles circonstances, il est demandé aux producteurs d’éthanol à partir du maïs d’arrêter leur production afin de laisser le maïs en priorité pour nourrir les humains et animaux. Seront-elles écoutées et entendues ? Car les enjeux énergétiques sont également importants et font l’objet de stratégies des gouvernements qui les ont initiés.
Nous avons là un exemple de la globalisation des problèmes à l’échelle mondiale. Pour peu qu’un des éléments, naturels ou sociaux, tende la situation à l’extrême, les conséquences sont multiples et touchent toute la planète, sur fond d’injustices et d’inégalités de traitement. A eux seuls, les États-Unis accaparent environ 40% du maïs mondial !
Voilà qui justifie amplement les revendications du PCR en faveur de l’autonomie énergétique et l’autosuffisance alimentaire. La sécurité énergétique et alimentaire de la population réunionnaise doit être la priorité de n’importe quelle gouvernance.
J.B.
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