
In objéktif pou trapé : In dévlopman korèk …sansa sé in bilan négatif !
26 juin, parMézami, ni sava rante dann in pèryode zélékssion ané pou ané.Nora zélékssion l’ané 2026, nora zélékssion l’ané 2027 é nora ankor l’ané 2028… Bann (…)
1er février 2008, par
La nouvelle augmentation des coûts des carburants - avec la bouteille de gaz dépassant pour la première fois les 20 euros...! - est une occasion supplémentaire de poser le problème de la formation des prix et d’exiger la transparence totale sur ce phénomène. Dans ce cadre, la bataille n’est pas finie pour rendre vraiment efficace l’Observatoire des prix et des revenus, un outil légal et institutionnel pour lequel il a déjà fallu se battre pendant 7 ans pour le faire installer par le gouvernement.
En tout cas, ce qui est déjà sûr et certain, c’est que les hausses des prix augmentent toujours les revenus de ceux qui vendent les produits et les services concernés. D’où les hausses colossales des profits du capital, qui impose sa loi du marché.
Les candidats aux élections du 9 mars sont-ils d’accord avec ce système de dictature économique ? Leur réponse est importante car on a absolument besoin de savoir s’ils le combattent ou le cautionnent.
De même, on a besoin de savoir comment ils vont gérer leurs indemnités s’ils sont élus. C’est la meilleure façon de savoir s’ils sont candidats pour défendre l’intérêt général plutôt que leurs intérêts personnels.
Dans cet esprit, “Témoignages” exprime sa solidarité à Samuel Mouen et à ses amis de la Fondation France Outre-Mer, un « organisme de lutte contre la corruption et pour la moralisation de la vie publique », qui ont été attaqués par “Le Quotidien”. Preuve que des médias peuvent être complices de la corruption.
En fait, l’argent corrompt tout. Et les défenseurs du totalitarisme de l’argent veulent nous imposer par un coup de force - dans le mutisme des médias - un Traité constitutionnel européen déjà rejeté par les Français lors d’un référendum. Beurk...!
L. B.
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Dann in famiye néna touzour inn pou fèr lo gran. Li yèm okipe d’ shoz lé pa d’son az. Sé pou sa i di, li fé l’onm d’afèr. Mi rapèl in zour mwin (…)
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Messages
1er février 2008, 08:00, par nicolas de louest
rappelons que le niveau des prix que détermine d’une façon "magique" la Préfecture, permet le maintien de la marge de la SRPP. à l’heure où l’état est prompte à retirer du pain de la bouche des pharmaciens, la Préfecture et ses services devraient plutôt s’intéresser à la lecture des résultats annuels de la SRPP. Ce résultat est la conséquence principale de la marge réalisée sur la cession de carburants aux exploitants de station service, cession qui englobe également la livraison de carburants à ces mêmes stations services. Il faut donc s’intéresser aux conditions d’achat de carburants par la srpp (prix défini annuellement, mensuellement, avec quel délai d’avance ?), et contrôler la marge représentée par le coût moyen d’acquisition, frais de livraison et de stockage compris, avec le prix de vente aux stations service. Ensuite, sur le prix de vente au public, le prix fixé par la Préfecture est un prix maximum. Que faut il comprendre par là ? que les stations services sont obligés de pratiquer un prix qui ne peut excéder le prix fixé. Autrement dit, rien n’empêche les stations services réunionnaises de pratiquer un prix à la pompe inférieur à celui fixé. Qu’observe-t-on ? que tous pratiquent le même prix. on est pas loin de la définition de l’entente sur les prix, phénomène sur lequel la DGCRF devrait porter son attention, ainsi que les instances chargées d’analyser ce type de phénomène. En conclusion, on comprend bien que le consommateur est le dindon de la farce, que les stations services et les pétroliers sont copains comme cochon, ne faisant l’un et l’autre AUCUN effort à garder dans leur exploitation, une part des augmentations du prix du baril. La situation est donc une situaiton de rente ad vitam, tant que l’Etat et les collectivités locales, ne prendront ce dossier à bout de bras, en proposant la "collectivisation" de l’acheminement, du stockage, de la distribution, et de la vente de produits pétroliers par la création d’un outil mixte dont l’actionnariat majoritairement public, serait ouvert aux seules personnes physique privée (pas de personnes morales partenaires en clair).Rappelons que l’outil de financement régional existe.
La redéfinition des missions de service public est donc une priorité à la Réunion, pour ceux qui ne l’avaient pas encore compris. La recherche de partenariat personne morale privée/public ayant montré ses limites dans de nombreux domaines, en raison notamment de la trop grande collusion entre les personnalités politiques ordonnatrices, et la sphère économique privée. En d’autre terme, du volontarisme politique, plus, encore et toujours plus.
merci de me publier.