
Un effort supplémentaire de 5 milliards d’euros nécessaire cette année
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19 décembre 2006
Roulèr, kayanm et autres sati sonnent aux quatre coins de l’île invitant à la commémoration du 20 décembre. Cette année, la célébration du 158ème anniversaire de l’abolition de l’esclavage sera rehaussée par la présence de nos voisins du Mozambique, des Seychelles et de l’Afrique du Sud. En effet, dans le cadre de sa tournée d’adieux à la scène, la prestigieuse Miriam Makeba donnera un concert à champ Fleuri. Des adieux qui résonneront certainement comme un appel à un “retour aux sources”, un appel au resserrement des liens historiques unissant les peuples de l’Océan Indien.
Longtemps niée et vilipendée, l’abolition de l’esclavage est fêtée aujourd’hui dans l’unanimité. Cela a été rendu possible grâce aux luttes menée par les Réunionnais et, notamment, le PCR. Dans notre mémoire collective, en effet, le 20 décembre 1848 est un acte fondateur. En libérant les esclaves de la pire ignominie qui soit, l’abolition se retrouve au cœur même de notre identité. Devenant, au fil des temps, “fête réunionnaise de la liberté”, le 20 décembre a acquis depuis un caractère “fédérateur”, ici même et en France où, désormais, on commémore cet événement le 10 mai.
La fête réunionnaise de la liberté est la fête de toutes les libertés : celles déjà acquises et, surtout, celles à conquérir. Cela implique un devoir de mémoire, bien sûr. Un retour - loin de tout mercantilisme ou folklorisation - aux valeurs fondamentales de la lutte de nos anciens. Mais ce devoir de mémoire pourrait n’être que ressassement stérile s’il ne s’inscrivait pas, à chaque fois, dans de nouvelles perspectives. Car, sur le chemin de la réappropriation par les Réunionnais de leur Histoire et sur celui de l’approfondissement de l’identité et de l’unité réunionnaise, les obstacles sont nombreux et beaucoup reste à faire. Les défis auxquels aura à faire La Réunion du million d’habitants nous imposent d’agir sans délai.
J.M.
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