
Un effort supplémentaire de 5 milliards d’euros nécessaire cette année
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16 avril 2005
On a fait beaucoup de pub pour l’émission de jeudi soir sur TF1 avec Jacques Chirac pour le “oui” au référendum du 29 mai prochain. Et à La Réunion, on est allé jusqu’à retransmettre ce “one-oui-show” de campagne électorale sur deux des quatre chaînes de la télévision hertzienne. Il fallait le faire... Ils l’ont fait ! Mais qu’en reste-t-il ?
Tout au long de cet échange entre le chef de l’État et les jeunes sur le projet de Traité constitutionnel européen, ce qui a dominé c’est l’expression des inquiétudes de la jeunesse française sur ce que réserve ce projet politique aux générations à venir. Et leur interlocuteur leur a répondu à plusieurs reprises : "je ne vous comprends pas", "ça me fait de la peine", "n’ayez pas peur".
Dans le même temps, Jacques Chirac n’a cessé d’ajouter : "si le “non” l’emporte, la France sera affaiblie, elle cessera d’exister politiquement au sein de l’Europe, et de toute façon il n’y aura plus de renégociation du traité". Bref, le président de la République n’a cessé de nager en pleine contradiction, amenant l’auditeur à se dire : finalement, la meilleure solution c’est donc de voter ”non” pour faire avancer la cause d’une autre Europe.
Le président de la République a dit qu’il ne voulait pas d’une "Europe ultra-libérale", tout en affirmant qu’il "ne conteste pas l’économie de marché" car elle est "la plus productrice de richesses" et que "son avantage c’est que tout le monde peut s’enrichir". Pas étonnant alors qu’il n’ait pas répondu à un participant qui lui demandait en quoi ce projet pouvait donner confiance à la jeunesse.
Seule consolation pour le chef de l’État : il s’est fourvoyé dans les mêmes contradictions que tous les autres partisans du “oui” regroupés dans l’UMP.S., incapables de cacher les pièges mortels de cette Constitution. Désolé pour le camp du “oui”, mais c’est raté, M. le président.
L. B.
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