
Un effort supplémentaire de 5 milliards d’euros nécessaire cette année
27 juinLa dette française atteint 114% du PIB au premier trimestre, soit près de 48.800 euros par Français. De fait, des crédits initialement prévus « ne (…)
23 août 2017, par
Le projet de casse du Code du Travail arrive dans sa phase finale. Après l’adoption par le Parlement de la loi autorisant le gouvernement à agir par ordonnances pour modifier les relations entre travailleurs et employeurs, une dizaine de fonctionnaires a planché sur le texte. Les premiers résultats sont présentés depuis hier aux syndicats et organisations patronales. Une consultation qui se passe dans des conditions assez curieuses, comme le précise RFI :
« Les partenaires sociaux vont prendre connaissance d’une partie des ordonnances. Ils auront sous les yeux un document d’environ 150 pages mais ne repartiront pas avec. Seule la consultation et la prise de note seront autorisées. Et puisque tout n’est pas encore écrit, il ne leur sera communiqué que les points déjà arbitrés. Pas question de leur remettre le moindre document tant que le texte n’est pas finalisé. Pour éviter la moindre embûche, le ministère du Travail a recruté une dizaine de juristes spécialisés en droit du travail. Tout est bordé. Dans ces conditions, aucune information n’a fuité, et pour bien verrouillé le tout, la presse est tenue à l’écart. Aucune accréditation n’a été accordée. Circulez, il n’y a rien à voir ».
Le calendrier est fixé. Les ordonnances seront présentées au Conseil d’État le 28 août. Syndicats et patronat les recevront le 31 août, le jour de la conférence de presse du gouvernement sur ce sujet. Leur avis devra être rendu le 6 septembre, et ne sera que consultatif. Le texte sera à l’ordre du jour du Conseil des ministres du 20 septembre. Pour qu’elles aient force de loi, ces ordonnances doivent être ratifiées par le Parlement. Le vote est prévu au mois d’octobre, après les sénatoriales.
C’est dans ce contexte que se situe la mobilisation du 12 septembre à l’appel des syndicats, soutenue par le PCR. Elle démarrera la campagne d’action contre la politique de casse sociale du gouvernement.
La dette française atteint 114% du PIB au premier trimestre, soit près de 48.800 euros par Français. De fait, des crédits initialement prévus « ne (…)
Mézami, mon bann dalon, mi panss zot i rapèl la mortalité, laba dann Moris, lo gran kiltirèl épi politik Dev Virashwamy ; li lé mor na pwin lontan (…)
Des associations de défense de l’environnement et des citoyens sinistrés ont annoncé avoir déposé un recours pour obliger le gouvernement à (…)
En 2021, 595kg de déchets par personne sont collectés à La Réunion, soit davantage que dans l’Hexagone (548 kg/pers.). La Réunion se situe au 29e (…)
Dan noute kiltir popilèr néna bonpé kozman pou dir sa la éspass dann tan lontan… Mi koné pa pou koué, mé mwin néna dan l’idé k’ni viv in pé an (…)
Le Parti socialiste reproche au Premier ministre, François Bayrou d’avoir refusé de déposer un projet de loi sur les retraites permettant au (…)
Le Président des Etats-Unis, Donald Trump a ordonné le bombardement de trois sites nucléaires en Iran, dans la nuit du 21 juin 2025. Dans une (…)
Les élus de Guadeloupe ont adopté des résolutions « sur la fusion des deux collectivités, sur les compétences et l’autonomie fiscale », le 17 juin (…)
Des manifestants, réunis le 23 juin devant les institutions européennes, ont demandé la suspension de l’accord d’association liant l’UE à Israël. (…)
Normalien et énarque, chercheur en philosophie politique, Bruno Guigue est professeur invité à l’Université normale de la Chine du Sud (Canton) et (…)
Le 16 juin 2025, le Tribunal administratif de Paris a suspendu en référé l’arrêté du 26 février 2025 ordonnant le blocage de 17 sites (…)
L’État poursuit son engagement en faveur de la transition énergétique et de la décarbonation de l’électricité à La Réunion. À l’issue d’un appel à (…)