
Assemblée générale de la section PCR de Sainte Suzanne
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24 avril 2018, par
Une étude publiée récemment dans une revue scientifique rappelle que la montée du niveau de la mer est loin d’être le seul effet du changement climatique. En 2016, la Grande Barrière de Corail au large de l’Australie a été victime d’un épisode de blanchiment massif. La raison de ce phénomène est la chaleur. Cette année-là, des températures plus élevées que la normale ont été observées dès l’hiver. Elles se sont prolongées en été. En raison de cette chaleur, l’algue qui protège le corail s’en est détachée. Ceci a considérablement fragilisé les coraux.
Pour les chercheurs, la Grande Barrière telle que nous la connaissons est condamnée à évoluer. Des coraux qui ne peuvent résister au blanchiment vont disparaître. Les conséquences se mesureront en termes de biodiversité dégradée, et aussi de coraux moins nombreux. La Grande Barrière se situe au large de la côte de l’Australie. Elle ne contribue donc pas directement à la protection du littoral. Mais pour La Réunion, la menace est toute autre.
En effet, les récifs coralliens de notre île ont déjà subi les effets d’épisodes de blanchiment. Avec l’intensification du réchauffement climatique, ces phénomènes vont se multiplier. Ils vont mettre durement à l’épreuve les coraux survivants. Pendant ce temps, le niveau de la mer continuera à monter. La croissance des coraux sera alors trop insuffisante pour suivre le rythme. La barrière corallienne devant le littoral Ouest ne pourra donc plus jouer son rôle protecteur face à la houle de l’océan Indien. Ceci aura pour conséquence de laisser sans défense les plages et les nombreuses constructions qui ont été implantées dans cette zone ces dernières décennies.
Ainsi, ce sont non seulement les restaurants de plage qui sont condamnés, mais aussi tous les biens immobiliers des riverains ainsi que les équipements financés par des fonds publics. C’est un problème essentiel auquel il est nécessaire de se préparer. Cela impose de débattre dès maintenant des adaptations nécessaires et de rechercher les financements qui permettront de relocaliser les personnes concernées à l’intérieur des terres, à moins de construire une digue haute de plusieurs mètres capable de résister à la houle de l’océan Indien pour protéger les zones habitées de Saint-Gilles à Saint-Leu et à Saint-Pierre.
J.B.
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