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29 juin 2017, par
Un article paru hier dans « le Quotidien du Peuple » confirme que la menace de la montée des eaux se précise pour La Réunion. Voici un extrait :
« Des scientifiques viennent de révéler que la hausse globale du niveau des mers s’accélère, et que le Groenland, qui perd une quantité croissante de glace, en est l’un des grands responsables. Ils ont averti que la situation est à ce point grave que, compte tenu de ce rythme accéléré, il est possible qu’à la fin de ce siècle, l’élévation du niveau des mers puisse menacer des communautés côtières du monde entier, allant de Miami à Mumbai. Cette nouvelle étude, publiée lundi dans la revue Nature Climate Change, est l’un des quelques travaux récents qui confirment une accélération de l’élévation du niveau des mers au cours des dernières décennies. Il y avait eu de fortes incertitudes à ce sujet auparavant, les négationnistes du changement climatique s’accrochant à elles et faisant valoir qu’une telle accélération n’avait en réalité pas eu lieu. »
À l’annonce du résultat d’une telle étude, les responsables politiques se doivent d’agir au plus vite pour anticiper la catastrophe à venir. En effet, ils ne peuvent pas dire qu’ils ne sont pas prévenus. Ils ont encore quelques années pour lancer des projets d’adaptation. Toute tergiversation supplémentaire n’empêchera pas la hausse du niveau de la mer de continuer à s’accélérer.
La calotte du Groenland est menacée. Des calculs ont montré que sa fonte totale ne pourra qu’entraîner une hausse de plusieurs mètres du niveau de la mer. La menace est réelle, car l’existence d’un Groenland couvert par les glaces est une anomalie au regard de la température moyenne actuelle de la Terre.
C’est donc le moment d’agir pour que les grands travaux d’infrastructure prennent en compte l’accélération du niveau de la mer. Les investissements devront donc se faire dans du durable pour protéger la population. Autrement dit, la route en mer est condamnée. Il est urgent de réorienter les crédits.
J.B.
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29 juin 2017, 19:37, par Maillot Joseph Lucay
Lorsque l’on a conçu la nouvelle route en cours de construction les techniciens connaissaient déjà le risque d’augmentation du niveau de la mer qui serait causé par le réchauffement climatique . le problème du réchauffement climatique a commencé à attirer l’attention des scientifiques dans les années 1980. Mais à l’ile de la réunion un autre risque devait également être pris en considération , c’est le risque de houle cycloniques de plus de 30 mètres de creux pendant les cyclones très violents . Les services du BRGM avaient déjà fait des mesure de la hauteur de la houle entre saint Denis et la possession lors du cyclones Firinga et d’un autre gros cyclone de 2002 et avaient constaté des hauteurs de houle de plus de 25m . Pourtant en passant sur le long du chantier du coté de la Grande chaloupe , on voit bien que la hauteur sous le tablier de la route et le niveau de l’eau ne dépasse pas une dizaine de mètres . C’est plutôt effarant mais ce qui est plus grave c’est que lorsque on compare les dimensions du notre futures route à celles du pont qui relie les îles d’Oléron et de Ré au continent en France , on constate que même si cepont a été réalisé depuis longtemps la hauteur sur la mer est de 40 mètres . ce qui permet d’avoir une marge suffisant pour prer au conséquences du réchauffement climatique mais aussi de se protéger des grosses houles des tempêtes lorsque celles ci se déchainent sur les bord de l’atlantique .
Pourquoi, s’est on contenté d’une dizaine à un douzaine de mètres pour l’ouvrage réalisé à la Réunion alors que l’on sait pertinemment que cette hauteur est insuffisante que et alors que des propositions beaucoup plus sûre que la route en mer avaient été proposées .
J’ai rappelé déjà dans des précédentes interventions les solutions que j’ai proposées pour faire passer la route par les hauts ou par tunnel intégral , mais je voudrais également dire que en 2010 lorsque j’ai transmis mes propositions détaillées accompagnées de schéma à la presse écrite j’ai transmis également une proposition de viaduc qui aurait été réalisée sur des grands pylônes aurait permis de faire passer la route à plus de 40 mètres de hauteur au dessus de l’eau et de la mettre à l’abri des cyclones et de l’élévation du niveau de la mer causée par le réchauffement climatique .
Mais hélas aucune de mes propositions n’a été examinée et je crains qu’un jour les réunionnais paieront le prix fort pour cette négligence . En effet lors d’un cyclone très violent générant des houles de plus de trente mètre la force des vagues qui déferleront sur le pont sera suffisante pour soulever le tablier et détruire totalement ou partiellement l ’ouvrage . Ce qui entrainera inévitablement la fermeture de la route pour une durée indéterminée et plongera la Réunion dans un coma économique obligeant la plupart des entreprises à déposer leur bilan. Cet ouvrage magnifique que nous aurons construit en défiant la nature nous ramènera au niveau des année d’après guerre . Et à ce moment là on dira il y a quelqu’un qui nous a dit ce qu’il fallait faire ou ce qu’il fallait ne pas faire .Mais ce sera trop tard pour les Réunionnais. Et comme en France depuis longtemps ,les instances dirigeantes considèrent les départements d’outre mer et notamment la Réunion comme des danseuses qui coutent trop cher à entretenir ce n’est pas certain que les réunionnais bénéficieront alors de la solidarité que la devise de la république impose au pays pour tous ses citoyens .