
Assemblée générale de la section PCR de Sainte Suzanne
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21 juin 2013, par
Hier, nous avons consacré l’éditorial à l’enfance victimes de coups. Comment peut-on imaginer que l’on en soit arrivé à cette extrémité ? Quel remède à ce mal profond et d’ampleur inégalée ? N’est-il pas temps de réfléchir réellement au modèle de société dans laquelle nous évoluons ? Le Temps de panser les maux de la société pour espérer libérer les êtres qui la composent.
En effet, ces actes apparaissent extrêmes, en particulier à ceux et celles qui vivent à l’autre extrémité de la société qui s’est instaurée comme la norme. Un immense fossé sépare les 2 extrêmes. Et la question est de savoir pourquoi ceux et celles qui se prétendent les gardiens de la norme ont-ils échoué dans l’application de leurs propres principes ? Par exemple, que reste-t-il du précepte inculqué par les normaux : « Tu ne tueras pas » ? Comment ces valeurs ont-elles disparu de l’écran de radar du meurtrier ? De même, comment 120.000 personnes ont fini par être rejetées dans l’illettrisme, donc sorties de la norme sociale ? Une telle ampleur souligne l’échec des gardiens de la norme en matière de scolarisation et de sa maintenance. Les 163.000 personnes exclues de l’emploi ne sont plus dans la normalité depuis bien longtemps. Les 52% qui vivent sous le seuil de pauvreté, non plus. Bref, il est de plus en plus difficile de s’acheter une norme imposée par ceux et celles qui ont accaparé les moyens de se les offrir et préserver.
Tant que la partie normée de la société considèrera comme normal : le chômage, l’illettrisme, la pauvreté, le manque de considération, etc., c’est qu’elle accepte l’inutilité sociale pour son prochain. Que l’on ne s’étonne donc pas des conséquences de l’accumulation de situations extrêmes. Elles peuvent être explosives et faire des victimes ; elles peuvent être implosives et emporter l’intéressé. N’oublions pas que nous comptons annuellement plus de 3.000 tentatives de suicides, et plus de suicides que de morts sur la route ou de victimes d’attaques de requins.
Ainsi, panser les maux de la société pour espérer libérer les êtres qui la composent exige une haute conscience de l’intérêt collectif où chacun sera fier de sa place et de son rôle. Le sénateur Paul Vergès et le PCR appellent à l’union des Réunionnais sur l’essentiel, afin de libérer les énergies créatrices au service du pays et de soi-même. Sérieusement, y a-t-il un autre remède pour recréer le sentiment d’utilité sociale ?
J.B.
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