
Mal-do-mèr dann sarèt
28 juin, parLo zour la pokor kléré, Zan-Lik, Mariz é sirtou Tikok la fine lévé, mèt azot paré. Madanm Biganbé i tir zot manzé-sofé, i donn azot, zot i manz. (…)
19 mars 2014, par
48 heures après le référendum en Crimée, plusieurs événements ont accentué la pression.
C’est tout d’abord une nouvelle offensive de l’OTAN qui se dessine. Au Sud de la mer Noire, c’est la Turquie, alliée des Etats-Unis, qui lève la voix. Elle dit aux Russes de ne pas se mêler de l’intégrité territoriale de ses voisins. La Turquie menace de bloquer les détroits aux navires russes, ce qui fermerait la route de la Méditerranée non seulement aux bateaux de commerce, mais aussi à la flotte russe de la mer Noire basée à Sébastopol en Crimée.
C’est ensuite l’annonce de l’US Air Force de déployer 12 avions de chasse en Pologne, État frontalier de la Russie et de l’Ukraine. Quant à la France, elle agite la menace de ne pas livrer deux navires de guerre commandés par la Russie à un chantier naval français.
De son côté, la Russie a reconnu l’indépendance de la Crimée et a enclenché la procédure pour l’intégration de la République en sécession de l’Ukraine. En réponse à la manœuvre de l’aviation des États-Unis, Moscou a amené 6 avions de combat en Belarus pour parer à toute éventualité.
Quant à l’Ukraine, elle voit apparaître sur son flan occidental un nouveau problème. La République de Transnistrie a demandé elle aussi son rattachement à la Russie.
La Transnistrie est une partie de la Moldavie peuplée majoritairement de personnes parlant russe. Elle ne reconnaît pas l’autorité du pouvoir central de Moldavie, et elle a même installé des postes de douane à ses frontières.
La menace française est confrontée à une réalité économique. Le gouvernement est-il prêt à supporter le coût social d’une telle décision ?
Les manœuvres en Pologne et les déclarations de la Turquie sont autrement plus dangereuses.
La menace d’escalade devient donc sérieuse, avec une implication directe d’États membres de l’OTAN dans la crise ukrainienne.
Face au risque d’un dérapage, la voie de la négociation doit plus que jamais être privilégiée. La Russie et l’Union européenne ont en effet tout à gagner à s’entendre. Et L’Ukraine peut être le lien entre ces deux entités.
J.B.
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