
Mal-do-mèr dann sarèt
28 juin, parLo zour la pokor kléré, Zan-Lik, Mariz é sirtou Tikok la fine lévé, mèt azot paré. Madanm Biganbé i tir zot manzé-sofé, i donn azot, zot i manz. (…)
2 janvier 2006
Un problème, qui est source de nombreux soucis pour les citoyens comme pour les administrations locales et leurs élus, n’a pas été évoqué par les représentants de l’État dans leurs vœux pour 2006. Il s’agit du devenir de la décentralisation. On sait que la façon dont elle est conçue et appliquée jusqu’à présent consiste surtout pour l’État à se décharger d’un maximum de responsabilités sur les collectivités locales sans que celles-ci reçoivent les moyens politiques et financiers d’assumer ces compétences nouvelles.
Parmi les exemples d’actualité les plus cités de cette dérive, il y a le transfert d’une partie du service public de l’Éducation nationale, avec le transfert des Techniciens ouvriers de services (TOS) vers la Région et le Département sans que les droits des uns et des autres soient respectés.
Il y a également le cas des personnes embauchées par les collectivités et les associations sous des contrats précaires (CES, CEC, CIA...) - avec l’impulsion et l’aide de l’État - qui se retrouvent sans travail au terme de leur contrat ; et tout ce que le gouvernement leur propose - au “mieux” - c’est un nouveau contrat encore plus précaire et moins payé, avec une contribution plus faible de l’État.
Au début du mois de décembre dernier, lors de l’assemblée générale de l’Association des régions de France (ARF) à Bordeaux, le président du Conseil régional d’Alsace, Adrien Zeller, a dénoncé les reculs de la décentralisation. "Le gouvernement a tapé très fort sans ouvrir d’alternative". "Nous ne sommes pas des courroies de transmission, mais des partenaires de l’État", ajoutait le seul président UMP des Régions, en concluant sur ce constat pessimiste : "Le mouvement de décentralisation régionale est autant dans le fossé que l’Europe".
Des personnes sont aussi dans le fossé. Pour en sortir, l’État doit assumer ses responsabilités.
L. B.
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