
Un vrai calendrier scolaire réunionnais n’est pas pour demain
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4 août 2005
Une des marques de notre temps, c’est la rapidité des changements et des transformations de toutes sortes. Tout le monde en connaît les signes, comme par exemple la rapidité dans les découvertes des sciences médicales, dans les évolutions technologiques et dans la circulation des informations ou dans les moyens de déplacements. Cette accélération de nombreux processus, on la retrouve dans divers domaines de la vie sociale, culturelle et même privée : mobilité professionnelle, bouleversements idéologiques, disparitions des valeurs traditionnelles, instabilité conjugale et familiale...
Une grande partie de notre vie est donc marquée par une certaine fluidité ou précarité, qui fragilise parfois les esprits. Certes, il y a l’autre aspect de la réalité : l’immobilisme est souvent un facteur de blocage et d’oppression. Dans ces conditions, le changement peut être un facteur de progrès, une remise en cause des conservatismes et une avancée vers davantage de liberté.
Mais il est clair que la précarité sociale générée par le système économique libéral et la flexibilité exigée par les classes dominantes, n’ont pas grand chose de progressiste. Toujours plus de précarité pour les emplois, cela signifie moins de revenus assurés et moins de sécurité sociale, et donc moins de stabilité mentale. Si un être humain ne peut pas bâtir sa vie sur des fondations stables, il lui est difficile de se projeter dans l’avenir, d’élaborer un projet de vie et de donner un sens - une direction, une signification - à son existence. Celle-ci risque alors de se dérouler péniblement, au jour le jour, sans perspective.
C’est pourquoi les ordonnances du gouvernement De Villepin-Sarkozy vont bien au-delà d’une remise en cause du Droit du travail et d’acquis sociaux essentiels. Elles doivent être combattues pour faire respecter le droit de chaque personne de construire sa vie sur des bases solides.
L. B.
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