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10 mars 2016, par
En France, d’importants défilés ont eu lieu dans les grandes villes pour protester contre le projet de loi dit « El Khomri ». Aux côtés des jeunes largement représentés, la CGT, FO et les communistes ont assuré le succès de l’action. À La Réunion, le rassemblement du Barachois a marqué le point de départ de la mobilisation. Maurice Gironcel y représentait le PCR.
Ce 9 mars, le projet de loi si contesté devait être présenté en Conseil des ministres. Face à la création d’un large front syndical englobant toutes les centrales, ainsi que l’UNEF et les syndicats de lycéens, Manuel Valls avait repris les choses en main. Il a annoncé le report de deux semaines de la présentation du texte de loi, et des rencontres avec chaque organisation syndicale. Pour ces entretiens, le Premier ministre était accompagné de Myriam El Khomri, ministre du Travail, et d’Emmanuel Macron, ministre de l’Économie. La manœuvre avait clairement pour but de diviser l’unité syndicale. Il avait annoncé la couleur : pas question de revenir sur le fonds du texte, qui prévoit notamment une remise en cause des 35 heures, des licenciements économiques plus faciles et un plafonnement des indemnités perçues par un travailleur en cas de licenciement abusif constaté par un juge.
La mobilisation d’hier marque un revers pour le gouvernement. En France, les organisations de jeunesse, la CGT et FO ont maintenu l’appel à la mobilisation. Des centaines de milliers de personnes ont défilé dans les grandes villes. À Paris, la place de la République était totalement occupée par les manifestants. Voilà de quoi amener le gouvernement à revoir sa stratégie. Car cette mobilisation est appelée à s’amplifier, avec en point de mire une nouvelle journée d’action le 17 mars.
À La Réunion, un rassemblement s’est déroulé hier soir devant la préfecture au Barachois. C’est là aussi le point de départ d’actions qui doivent monter en puissance. Car dans notre île, l’application des mesures annoncées dans le projet de loi sur la négociation collective serait au moins aussi dévastatrice qu’en France. Hier en conférence de presse, le PCR a rappelé son soutien à la mobilisation et son opposition à la Loi Travail.
Selon « les Echos », le gouvernement serait désormais prêt à réfléchir sur plusieurs pistes. Lundi prochain, le Premier ministre présentera les modifications apportées à la suite des rencontres avec les partenaires sociaux. Nul doute que le gouvernement devra tenir compte du succès de la mobilisation pour ne pas subir un cinglant désaveu à un peu plus d’un an de la prochaine élection présidentielle.
J.B.
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Messages
10 mars 2016, 12:42, par titienne
Quand des travailleuses, travailleurs sont attaqués sur leurs droits , nous ne devons point restés innertes, c’est un devoir , c’est une obligation.
Meme si parfois nous sommes accompagnés, de faux défenseurs, allons plus loin marginons les si besoin, et continuons notre lutte .