
Mal-do-mèr dann sarèt
28 juin, parLo zour la pokor kléré, Zan-Lik, Mariz é sirtou Tikok la fine lévé, mèt azot paré. Madanm Biganbé i tir zot manzé-sofé, i donn azot, zot i manz. (…)
21 décembre 2005
Parmi les Réunionnais privés d’emploi ou en emploi précaire, ceux dont on parle le plus souvent en ce moment, ce sont les 560 agents du Département en contrat emploi consolidé (CEC) ou en contrat emploi-jeune (CEJ), qui se retrouvent ces jours-ci sans travail. Ce problème crucial fait l’objet d’une polémique entre élus chiraco-villepinistes de l’UMP et élus sarkozystes de l’UMP-La Relève. Ainsi, l’ex-président du Conseil général, Jean-Luc Poudroux, affirme que le Département peut intégrer tout ce personnel en fin de contrat avec 10 millions d’euros. La présidente actuelle, Nassimah Dindar, déclare quant à elle que cela est impossible et que seulement 120 agents pourront être titularisés en trois ans pour un coût de 5 millions d’euros, la collectivité ne pouvant pas faire mieux en raison des charges nouvelles pesant sur elle avec le second volet de la décentralisation.
En fait, tout le monde sait que derrière cette polémique, il y a surtout des rivalités politiciennes, des batailles de clans et des ambitions électoralistes dans la perspective des rendez-vous de 2007 et 2008. Cela est très grave. Car c’est une véritable violence que d’utiliser ainsi des personnes précaires et sans emploi pour atteindre ou conserver des positions de pouvoir. On joue avec la vie de ces personnes. De plus, on oublie à la fois la responsabilité première de l’État face à ce problème et le fait que derrière ces 560 cas, il y en a des dizaines de milliers d’autres qui sont privés d’un droit humain fondamental.
Alors, à quand une entente entre Réunionnais sur un projet de développement durable et solidaire, prenant en compte en priorité ce droit à l’emploi pour tous et mettant Paris face à ses responsabilités ? Tant que l’on ne marchera pas dans ce sens, en ce lendemain de 20 Désanm, cela voudra dire qu’il y a encore des chaînes dans les têtes.
L. B.
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