
Assemblée générale de la section PCR de Sainte Suzanne
2 juillet, parC’est dans une ambiance chaleureuse avec un état d’esprit fraternel que les délégués de la Section PCR de Sainte-Suzanne se sont réunis en (…)
30 décembre 2016
Jean-Yves Minatchy a annoncé sa démission de la présidence de la CGPER. Dans le « JIR » d’hier, un article a donné une interprétation. Hier sur Antenne Réunion, le syndicaliste s’est érigé en faux face à ces informations, et a donné son explication : sa démission était prévue depuis plusieurs mois.
Cette décision survient alors que la canne à sucre est en train de vivre la plus grave crise de son histoire. La fin des quotas sucriers en 2017 interroge sur la capacité de la filière à pouvoir continuer à survivre dans sa structure actuelle. Le pouvoir de décision est entre les mains d’une coopérative de planteurs de betteraves, propriétaire des deux dernières usines sucrières. Et ce dernier a affirmé en 2014 devant une commission de députés que s’il n’a pas la certitude de vendre son sucre, alors il n’achètera pas les cannes des planteurs.
C’est dans ce contexte qu’un an plus tard, une nouvelle Convention canne a été signée pour la période 2015-2021. Sa particularité est de fixer le prix de la canne que pour les campagnes sucrières 2015 et 2016. Pour celle de l’année prochaine et les suivantes, tout est renvoyé à des discussions qui ne se sont pas encore conclues. Autrement dit, rien n’est acquis.
De plus, si le gouvernement a annoncé que l’Union européenne avait donné son accord au versement d’une aide annuelle supplémentaire de 38 millions d’euros pour tout l’outre-mer, cette subvention devra faire l’objet de discussions chaque année afin qu’elle soit inscrite dans le budget de l’État. Dans ces conditions, l’idée d’un prix de la canne fixé cette année pour la période 2017-2021 s’éloigne.
La lutte est donc loin d’être terminée. C’est pourquoi la démission du président de la CGPER interpelle, car elle intervient en pleine bataille et que la filière canne-sucre est loin d’être sauvée.
J.B.
C’est dans une ambiance chaleureuse avec un état d’esprit fraternel que les délégués de la Section PCR de Sainte-Suzanne se sont réunis en (…)
Nou la di lotro-zour : Tikarl-la in marmay la teknik, Tikok : in marmay lé plis poèt-poèt ! Sa lé bon, mé soman, l’inn konm lot i pé fé gingn aou (…)
Mézami fitintan lo mo « dékonèr » lété konm i di in galissism pars li té pliss in mo la lang franssèz popilèr la rante an missouk dan la lang (…)
Les 132 régions européennes de la coalition "EUregions4cohesion" rencontrent les vice-présidents exécutifs de la Commission Européenne, Raffaele (…)
C’est avec stupéfaction et colère que nous découvrons la volonté du gouvernement de faire des économies sur la prise en charge des affections de (…)
Le 16 juin 2025, le Tribunal administratif de Paris a suspendu en référé l’arrêté du 26 février 2025 ordonnant le blocage de 17 sites (…)
Les cours du pétrole ont connu une nette hausse à partir de la deuxième quinzaine du mois de juin, portés par l’extrême tension au Moyen-Orient et (…)
Dans les départements d’outre-mer, près d’une femme sur deux qui devient mère ne vit pas en couple, configuration familiale bien plus fréquente (…)
Mézami, mon bann dalon, mi panss zot i rapèl la mortalité, laba dann Moris, lo gran kiltirèl épi politik Dev Virashwamy ; li lé mor na pwin lontan (…)
Dan noute kiltir popilèr néna bonpé kozman pou dir sa la éspass dann tan lontan… Mi koné pa pou koué, mé mwin néna dan l’idé k’ni viv in pé an (…)
La dette française atteint 114% du PIB au premier trimestre, soit près de 48.800 euros par Français. De fait, des crédits initialement prévus « ne (…)