
Assemblée générale de la section PCR de Sainte Suzanne
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6 janvier 2018, par
La révolution technologique a eu pour résultat le développement de l’informatique. Les ordinateurs sont partout. Ces machines ont pour base un microprocesseur. Ce composant électronique réalise les calculs nécessaires aux tâches demandées par l’utilisateur. Les machines diffusées dans les familles et les entreprises sont très majoritairement animées par un microprocesseur fabriqué par la société Intel. Cette dernière a au fil du temps acquis une position dominante dans ce domaine. Or ces derniers jours, une faille dans la conception des microprocesseurs Intel a été mis au jour. Elle compromet gravement la sécurité d’informations confidentielles stockées par un utilisateur.
Cette faille permet à un personne mal intentionnée d’agir sur les données présentes sur un ordinateur à l’insu de son propriétaire. Comme elle se situe au coeur du système, elle ne peut être corrigée totalement. Si des correctifs ont bien été mis en place, ils ne permettent pas de régler le problème définitivement. Cela ne pourra être fait qu’avec la mise en service de nouveaux microprocesseurs. Comme ce composant est la partie la plus onéreuse d’un ordinateur, et qu’il est même parfois soudé à celui-ci, son remplacement dans toutes les machines concernées est impossible.
Ce grave problème est une conséquence de la position dominante d’un pays, les États-Unis, dans la fabrication de composants-clés des ordinateurs. Outre les processeurs, c’est également aux États-Unis que sont mis au point les systèmes d’exploitation installés dans plus de 90 % des ordinateurs vendus dans le monde. D’où la crainte que les fabricants de ces logiciels aient laissés dans le code de leur produit des portes d’entrée permettant aux services secrets des États-Unis de pouvoir lire le contenu des machines qui en sont équipées. Cette fois, la menace est plus grave, car quelle que soient les logiciels installés sur la machine, la faille est exploitable car gravée dans le microprocesseur, qui est un composant physique.
Cela met en évidence une société vulnérable à cause de sa dépendance à la révolution technologique dans l’informatique sous la domination d’un seul pays. On peut s’interroger sur le fait que cette faille existe depuis au moins 20 ans, car elle est commune à tous les microprocesseurs fabriqués par Intel depuis le Pentium Pro, soit depuis le milieu des années 1990. Les dégâts sont donc considérables, et la confiance envers une économie toujours plus dépendante du numérique est sérieusement entamée.
J.B.
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