
Un effort supplémentaire de 5 milliards d’euros nécessaire cette année
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13 février 2017, par
En février et mars, La Réunion est un lieu de passage de plusieurs candidats à la présidentielle venir faire campagne. Cette élection se déroule dans un contexte particulier. Comme l’a indiqué le PCR dans son rapport politique adopté par son 9e Congrès, de plus en plus de responsables politiques arrivent à la même conclusion que la ligne fondamentale du Parti communiste réunionnais : le système actuel est à bout de souffle, il est nécessaire de le dépasser. Et de demander plus de compétences pour les Réunionnais.
Ces prises de position interviennent à un moment de l’histoire de La Réunion. Elles raisonnent comme un bilan de ces 70 dernières années. Elles ne sont pas propres à La Réunion. Lors du débat sur le projet de loi égalité réelle au Sénat, Jacques Gillot, sénateur de la Guadeloupe, avait souligné l’existence d’une dynamique demandant plus de responsabilité dans les collectivités outre-mer.
Force est de constater une divergence entre les voix de l’outre-mer et des candidats qui viennent en visite à La Réunion. Car si l’analyse du bilan de la départementalisation était convergent, alors le programme pour l’outre-mer en général et La Réunion en particulier serait le suivant : c’est aux populations concernées de s’entendre sur un projet, et c’est au futur président de la République de s’engager à l’appliquer. Que constate-t-on dans la pratique ? Une crise de confiance.
Ainsi des candidats déclinent une série de propositions pour La Réunion. Certains élus d’outre-mer se disent même investis de la mission d’écrire le programme pour l’outre-mer du candidat qu’ils soutiennent. Cette position pose un problème de démocratie : comment un élu peut-il s’autoproclamer ambassadeur de peuples très divers situés à des milliers de kilomètres les unes des autres ?
Cette attitude montre combien il est difficile pour des responsables parisiens de faire le bilan de ces 70 dernières années. Un candidat va-t-il se démarquer en faisons confiance aux Réunionnais, qui sont les mieux placés pour proposer et appliquer des mesures pour gérer leurs affaires ?
J.B.
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