
Assemblée générale de la section PCR de Sainte Suzanne
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22 juillet 2009, par
Les Réunionnais le constatent tous les jours : les informations dont les médias dominants font une de leurs priorités sont les "faits-divers". C’est-à-dire les événements de l’actualité que sont les accidents routiers ou autres (incendies, chutes, noyades…), les affrontements violents entre personnes dans les familles, dans la rue, les agressions, vols… et les délits ou crimes examinés par l’appareil judiciaire.
Ces événements sont rarement analysés de près : leurs causes ne sont pas étudiées, l’essentiel n’étant pas la réflexion que l’on suscite, mais l’émotion que l’on vend. Il en résulte une image globalement négative de La Réunion et des Réunionnais, et cela cultive dans les esprits les fantasmes de la peur et de l’insécurité, ce qui n’est pas du tout neutre politiquement, ni le fruit du hasard.
En effet, indirectement, à travers ces informations orientées, seules sont stigmatisées les imprudences et les violences physiques de certaines personnes contre d’autres. Certes, ce sont des faits regrettables à prévenir, voire à sanctionner, selon la loi, mais les drames quotidiens dont souffrent un grand nombre de Réunionnais en raison de leurs mauvaises conditions de vie et des inégalités sociales créées par le système économique et politique dominant ne sont presque jamais évoquées et encore moins expliquées ou combattues.
Pourquoi ces graves carences médiatiques ? Est-ce parce que le système médiatique, lié au système économique, n’a pas pour priorité de combattre les causes de ces phénomènes sociaux qui perturbent notre harmonie sociale, ni de militer pour le développement durable de La Réunion ?
De fait, ce système médiatique, indifférent à une vision réunionnaise et transformatrice de la société, a pour fonction première de perpétuer un modèle de développement inéquitable et sans perspective crédible pour l’avenir du pays. La place et le traitement accordés aux "faits-divers" s’inscrit dans cette logique anti-solidaire et dans une culture de la résignation.
Ce genre de nouvelles a pour but principal de vendre des informations réduites à des produits marchandisés, de baisser le niveau de la conscience politique des citoyens et de détourner leurs idées de celles visant à changer la société. Les "faits-divers" sont traités pour faire une… diversion idéologique et manipulatrice de la population.
L. B.
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