
Assemblée générale de la section PCR de Sainte Suzanne
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17 août 2016, par
Les médias ont rapporté le fiasco commercial, économique et financier des 24 heures de Saint André. Le même traitement a été accordé à la manifestation Flores et Halles du Port, malgré une affluence de 30 000 visiteurs. Les 2 cas mettent en avant un volontarisme politique désuet.
Tout d’abord, la volonté de vider les poches des Réunionnaises et Réunionnais à la veille de la rentrée était une erreur économique et morale. A cette époque de l’année, les acheteurs potentiels sont concentrés sur les dépenses scolaires. Les réjouissances passent au second plan. C’est surtout un véritable pied de nez aux détracteurs des allocataires percevant des aides scolaires.
Ensuite, la volonté d’organiser les nuits blanches de l’Est méconnait absolument la culture des Réunionnais, en cette période d’hiver austral. Généralement, pour ce genre de manifestations populaires, on prend moins de risque en été. A défaut de consommer, c’est l’occasion de faire une sortie, de se promener. Pour cette fois, il n’y avait pas de public. Au Port, la volonté de faire venir Julien Lepers est toujours incomprise de tous les acteurs culturels réunionnais. Cela a été un investissement contre-productif.
Enfin, la volonté de promotions politiciennes à travers des manifestations communales passe de plus en plus mal au yeux de la population qui ne voit pas les changements tant promis. Le fossé est très net entre, d’une part, les professionnels qui ont accepté de payer (souvent cher) et qui s’impatientent d’obtenir un bon retour sur investissement et, d’autre part, les intervenants politiques qui se bousculent pour être photographiés.
La palme est revenue au Port où on signale qu’une brochette de 8 personnes a pris la parole. En prévision de prochaines élections, la surenchère a donné suite à un flot de discours qui n’avaient pas leur place dans cette manifestation de fleurs. Le bouquet en revient à la doyenne des Députées. A aucun moment elle n’a remis en cause la subvention communale de 10 000 euros votée pour faire venir une goyave de France. D’habitude, elle s’indigne pour beaucoup moins que ça.
Plus sérieusement, le fiasco commercial réside surtout dans le rétrécissement des budgets des ménages et dans la concurrence avec des manifestations plus professionnelles qui mobilisent depuis de longues dates des médias, des sponsors et une opinion friande de nouveautés qu’elle consomme sans modération.
J.B.
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