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4 juillet, parMézami, mon bann dalon, si in zour in listorien i désside rakonte anou bien konm k’i fo listoir La Rényon, mwin lé sirésèrtin li va parl anou (…)
11 août 2016
L’échéance 2017 se complique pour l’agriculture réunionnaise. Elle est déjà menacée d’être le secteur à l’origine de la plus grave crise économique, sociale et environnementale de l’histoire de La Réunion à cause de la suppression de son quota sucrier l’année prochaine. En effet, cette décision de l’Union européenne soutenue par le gouvernement français signifie la fin du prix garanti pour le sucre produit au pays. Une étude du Parlement européen présentée le mois dernier anticipe les conséquences pour le marché européen. Le prix du sucre va tendre vers le cours mondial. C’est en dessous du prix que l’Union européenne paie actuellement pour acheter le sucre invendu afin de soutenir les producteurs. Les planteurs de canne à sucre devront donc faire face à la concurrence mondiale. Sans moratoire et mesures d’accompagnement, c’est la mort assurée pour la filière canne-sucre qui emploie 18.000 personnes à La Réunion. Mais cette menace n’est pas la seule.
Dans notre région sévit une épidémie de fièvre aphteuse. Elle décime le bétail. Les deux îles les plus proches de La Réunion sont touchées, il s’agit de Maurice et de Rodrigues. Dans un communiqué diffusé hier, la préfecture a mis l’accent sur les mesures à prendre pour éviter l’arrivée de la fièvre aphteuse à La Réunion. Elle précise ceci :
L’introduction de cette maladie à l’île de La Réunion menacerait la pérennité des filières d’élevage et entraînerait de graves conséquences, tant économiques que sanitaires.
Ce secteur est fragilisé depuis plusieurs années par des alertes sanitaires successives. Or l’élevage est une filière créée à La Réunion dans le but de diversifier l’agriculture fortement dépendante de la monoculture de la canne à sucre. Il va donc sans dire que l’introduction du virus à La Réunion serait une catastrophe aux lourdes conséquences.
Cela impose donc une vigilance extrême afin que La Réunion ne puisse être la troisième île de l’archipel des Mascareignes touchée par l’épidémie. Faute de quoi, l’année 2017 pourrait être celle de la ruine de l’agriculture réunionnaise.
J.B.
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