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27 mai 2005
L’ancien ministre UMP Jacques Barrot, devenu membre de la Commission européenne, était un des invités de l’émission “France Europe Express” diffusée mercredi soir par Tempo. Au cours d’une brève intervention, il a parfaitement résumé les arguments les plus simplistes véhiculés par ses amis de droite et de gauche - dont certains dirigeants socialistes et patrons du MEDEF - en faveur du “oui” au référendum d’après-demain.
"Faut-il plus ou moins d’Europe ?", a-t-il demandé, en supposant que la réponse qui s’impose est “oui, il faut plus d’Europe”. Mais il ne s’est pas demandé : quelle Europe ? et plus d’Europe pour quoi faire ?
Deuxième question : "si le “non” l’emporte, l’Europe ne sera-t-elle pas moins dynamique ?". Il ne dit pas au service de quoi, ni de qui doit être la dynamique européenne. Or, on a vu depuis vingt ans ce qu’il en est.
Enfin : "la France doit-elle être à bord du train de l’Europe ou rester sur le quai ?", demande Jacques Barrot. D’abord, il fait semblant de croire que le rejet du projet de Traité constitutionnel européen par les électeurs français - avant d’autres - laissera la France en dehors du processus de la construction européenne. Ce qui est faux. Mais en plus il ne dit pas de quel train on parle, ni où va ce train.
Quand on utilise des arguments aussi simplistes, c’est qu’on prend les citoyens pour des simplets. Et les partisans du “oui” paient cher leur arrogance envers la population.
D’ailleurs, il y a quelques jours, le même Jacques Barrot a exprimé sa "gêne" devant ses collègues commissaires du fait de la volonté exprimée avec force par l’opinion française de rejeter la Constitution Giscard. Une gêne, une honte signifiant qu’il s’accommode mieux de ses amis libéraux à Bruxelles que du peuple français disant son inquiétude devant l’avenir. Pourtant, la voix du peuple est sacrée. Honte à ceux qui ont honte de leur peuple !
L. B.
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