
Un effort supplémentaire de 5 milliards d’euros nécessaire cette année
27 juinLa dette française atteint 114% du PIB au premier trimestre, soit près de 48.800 euros par Français. De fait, des crédits initialement prévus « ne (…)
5 janvier 2008, par
Le chef du gouvernement est en visite officielle en Guadeloupe et en Martinique de jeudi à aujourd’hui. Dans quelques jours, on pourra peut-être tirer des enseignements pour La Réunion de cet événement dans les deux départements antillais.
Pour l’instant, on notera que des annonces importantes par François Fillon y étaient très attendues. Et dans son édition d’hier, “Le Monde” titrait : « Le Premier ministre confronté aux impatiences des élus antillais ».
Le quotidien parisien précise que ces « impatiences » portent d’une part sur des problèmes locaux face auxquels ces élus attendent un soutien de l’État. « Sur tous ces sujets, François Fillon va être confronté à l’insatisfaction des ultramarins », écrit notre confrère.
Celui-ci évoque d’autre part des questions qui concernent aussi les autres départements d’outre-mer, comme le contenu de la future loi-programme ou la continuité territoriale entre les DOM et la métropole. Sur ce point, il note que Patrick Karam, ancien président du Collectif DOM, nommé délégué interministériel pour l’égalité des chances des Français d’outre-mer, a démissionné de son poste pour non-respect par le gouvernement de ses engagements.
À La Réunion, ces « impatiences » vont s’exprimer par une forte mobilisation à l’occasion des élections municipales et cantonales du 9 mars. Car les Réunionnais refusent de faire les frais de la politique de casse sociale menée par l’UMP.
Les parlementaires Huguette Bello et Gélita Hoarau ont adressé au gouvernement des propositions très précises pour l’emploi, le logement, le pouvoir d’achat, le désenclavement de l’île. Les élus UMP, eux, cautionnent la politique injuste du pouvoir. Les Réunionnais jugeront.
L. B.
La dette française atteint 114% du PIB au premier trimestre, soit près de 48.800 euros par Français. De fait, des crédits initialement prévus « ne (…)
Mézami, mon bann dalon, mi panss zot i rapèl la mortalité, laba dann Moris, lo gran kiltirèl épi politik Dev Virashwamy ; li lé mor na pwin lontan (…)
Des associations de défense de l’environnement et des citoyens sinistrés ont annoncé avoir déposé un recours pour obliger le gouvernement à (…)
En 2021, 595kg de déchets par personne sont collectés à La Réunion, soit davantage que dans l’Hexagone (548 kg/pers.). La Réunion se situe au 29e (…)
Dan noute kiltir popilèr néna bonpé kozman pou dir sa la éspass dann tan lontan… Mi koné pa pou koué, mé mwin néna dan l’idé k’ni viv in pé an (…)
Le Parti socialiste reproche au Premier ministre, François Bayrou d’avoir refusé de déposer un projet de loi sur les retraites permettant au (…)
Le Syndicat des énergies renouvelables a appelé les députés à rejeter la proposition de loi sur la programmation énergétique.
Au séminaire du 17 mai 2025, consacré au centenaire de la naissance de Paul Vergès, le PCR avait organisé 3 débats : ne soyons pas esclave de (…)
Face à l’urgence climatique et sociale, seize associations citoyennes et environnementales de La Réunion unissent leurs voix pour interpeller les (…)
Tou-lé-zan, dann moi zanvié-févrié, Tikok i sa rod gèp ek son bann kamarad. Zot i tras dann piton, la savann, la ravine… partou, é, souvandéfoi, i (…)
Le Président des Etats-Unis, Donald Trump a ordonné le bombardement de trois sites nucléaires en Iran, dans la nuit du 21 juin 2025. Dans une (…)
Les élus de Guadeloupe ont adopté des résolutions « sur la fusion des deux collectivités, sur les compétences et l’autonomie fiscale », le 17 juin (…)
Messages
5 janvier 2008, 10:39, par nicolas de louest
Malheureusement, la sanction possible de l’électorat au niveau communal ne peut avoir d’impact sur la politique menée au niveau national.
la sanction locale doit se faire sur la base des programmes communaux menés par les conseils municipaux en place. quid de la mesure de l’efficacité des politiques communales, sachant que de nombreuses prérogatives sont transférés sur l’intercommunalité, sur laquelle la population n’a pas de possibilité d’action de "sanction" ?
il est temps de modifier la réthorique non ?