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28 septembre 2013
La première partie du nouveau rapport du GIEC vient d’être dévoilée au public. Elle confirme, « sans équivoque », la responsabilité des humains dans le changement climatique. En produisant du gaz carbonique à partir de la combustion du charbon et des dérivés du pétrole, les humains ont modifié le climat de la Terre. Le GIEC constate que ces modifications sont d’une ampleur sans précédent depuis des milliers d’années.
Cette constatation, c’est le résultat d’un modèle. En décidant d’utiliser ces sources d’énergie plutôt que les énergies renouvelables, les dirigeants du passé et du présent ont créé la situation actuelle. La mécanique est enclenchée, car même si du jour au lendemain plus personne ne brûlait du pétrole, du bois ou du charbon, le changement climatique durerait encore plusieurs siècles.
Tout est parti de la Révolution industrielle en Europe occidentale, puis aux États-Unis et au Japon. Les catastrophes actuelles résultent donc de l’accumulation du CO2 émis pendant plusieurs décennies par quelques pays, rejoints depuis peu par le monde en développement.
Autrement dit, si l’humanité est responsable, certains pays le sont plus que d’autres.
Les plus touchés par les conséquences du changement climatique sont les pays qui n’ont que fort peu contribué à cette catastrophe. En effet, des États insulaires sont menacés de disparition, des dizaines de millions de personnes vivant dans les régions côtières de l’Asie du Sud devront sans doute migrer. Pourtant, ces peuples n’ont pas beaucoup brulé de pétrole ou de charbon. Les effets du changement climatique sont bien une illustration des inégalités à l’échelle du monde.
C’est bien tout un système de production de richesses qu’il est nécessaire de revoir. À La Réunion, l’ancienne majorité régionale avait montré la voie avec le plan pour l’autonomie énergétique en 2025. Mais sitôt l’UMP arrivée au pouvoir avec le soutien des socialistes, c’est une stratégie suicidaire qui a été mise en place : arrêt du tram-train et basculement de ses crédits sur une nouvelle route du littoral. La première conséquence de cette stratégie, c’est la hausse des émissions de gaz à effet de serre, et donc l’augmentation de la contribution de La Réunion à l’accélération du changement climatique.
Le rapport du GIEC laisse peu de marge de manœuvre. Il faudra innover, tout maintien dans le statu quo conduira l’humanité à la catastrophe. Sans remise en cause des modes de production, le réchauffement va libérer d’énormes quantités de gaz à effet de serre stockées depuis des milliers d’années dans le sol gelé des régions polaires. Tout deviendra alors hors de contrôle.
C’est pourquoi le rapport du GIEC place devant un choix très clair : innover ou mourir.
J.B.
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