
La vérité lé tétu ! i pé pa tourn ali lo do kontinyèlman !
4 juillet, parMézami, mon bann dalon, si in zour in listorien i désside rakonte anou bien konm k’i fo listoir La Rényon, mwin lé sirésèrtin li va parl anou (…)
Lévothyrox, bisphénol A...
11 octobre 2017, par
Lorsque les patient.e.s placé.e.s sous Lévothyrox (nouvelle formule) se plaignent de troubles inconnus jusqu’alors, la réponse des « autorités de santé » est d’une rare violence : « c’est dans votre tête ! ».
Quand des mamans se plaignaient des conséquences du bisphénol A, La ministre de la Santé de l’époque, pharmacienne de profession, n’a pas fait preuve de zèle pour mettre un terme à la diffusion des biberons au bisphénol A.
Vous observez des maux inconnus jusqu’alors, vous vous interrogez, vous échangez avec le monde, vous ouvrez des pistes de recherche : taisez-vous, c’est dans votre tête ! Vous n’êtes pas des “spécialistes”.
Mais, quelques années passent, des travaux scientifiques viennent corroborer ce que patients et parents soulignaient mais aucune excuse n’est présentée pour ces refus d’écouter les patients. Aucune leçon n’est tirée sur cette capacité des patients et parents à réfléchir et à échanger pour tenter de discerner les origines des troubles observés ou éprouvés. Les “autorités” n’ont qu’une réponse : « c’est dans votre tête », « faites preuve de patience, votre organisme s’adaptera ».
Par contre, ces mêmes “autorités” sont extrêmement attentives et réceptives aux “arguments” des industriels du médicament et de la chimie. Et lorsque la nocivité d’un produit est enfin établie, le produit n’est interdit qu’après des mois, des années parfois, d’atermoiements. Et pendant tout ce temps, des personnes, adultes, enfants, bébés continuent d’être exposées à ces produits et médicaments toxiques.
Question : qui les « autorités médicales » protègent-elles ? Les victimes ou les “empoisonneurs” ? Et pour quelle raison sont-ce toujours aux empoisonneurs qu’il est fait crédit de dire le vrai tandis que leurs victimes n’ont droit qu’aux sempiternels : « c’est dans votre tête » ou « ne cédez pas au complotisme » ?
Le laxisme, la corruption passive ou active, de ceux ayant mission de protéger les citoyens nous conduisent tous vers un monde intolérable. Jusqu’à quel point l’inhumanité des gouvernements sera-t-elle supportée ?
Jean
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Messages
15 avril 2020, 22:11, par julie pradier
Les défunts ne les intéressent pas si ce ne sont les leurs. Ils n’acceptent les vivants que soumis et prêts à de sempiternels efforts, de souffrance sociale au nom du sacro saint bien commun, image usurpée, galvaudée pour servir les intérêts d’une toute petite minorité....ces penseurs inféodés, acteurs d’une imposture qui confine jusqu’au boutisme pour rendre hermétique toute velléité de révolte, de contradiction ou de libre arbitre. ..ces penseurs jurant sur l’autel de la vie être à l’oeuvre pour la gloire du pays, en confondant sciemment globalisme et mondialisme... ces mêmes penseurs qui nous servent un soap réchauffé à chaque intervention et où chacun y va de sa répartie pour parler d’un monde nouveau sans pour autant remettre en cause les décisions inhumaines des décennies précédentes ayant mené au désastre que nous connaissons. Personne pour critiquer, muselés dans une imposture qui ne trompe plus personne, nous pensant la dupe aveugle de leurs tours de passe passe, prêts à sacrifier nos valeurs et notre humanité au nom d’un libéralisme inéluctable. Comment alors élever un édifice saint quand toute la base est corrompue jusqu’à la nausée par les consortiums qui dictent des règles servies dans le potage nauséabond d’une gouvernance mondiale qui ne dit pas son nom..
Ils feignent d’ignorer que sous notre silence, nous contemplons le secret de nos vies, toutes dissemblables et pourtant si proches dans les aléas semés sur leurs parcours. Chacun de se souvenir, chacun de se remémorer, chacun de se recueillir en adressant des prières muettes à ceux que nous chérissons et de murmurer paix à ton âme, toi qui scrutait cette société, ses faits, ses gestes et quelquefois de te contenter seulement de sourire. Et souvent, seul ce sourire nous revient en mémoire pour nous rappeler que malheureusement la plupart de nos semblables, dans cette course effrénée à toujours plus, n’ont rien compris...
Je vous exprime mes plus sincères condoléances et vous souhaite, dans cet abîme d’indifférence et de perplexité, la patience en des jours où nous apprendrons par la pensée et le discernement, la compréhension et la foi que toute vie est digne d’être sauvée, et que la miséricorde doit être la qualité la plus noble de l’être humain.