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20 mai 2005
Jacques Chirac l’a répété hier dans le Triangle de Weimar, en présence du chancelier Schrœder et du président polonais : en cas de victoire du “non” en France, il n’y a pas de “plan B” (une solution de rechange) et il n’y aura pas de renégociation. "Avec qui pourrions-nous renégocier ?", a-t-il dit.
Ce n’est pas parce que le chancelier allemand lui a emboîté le pas dans ce mensonge grossier qu’il faut se laisser impressionner par l’impudence de l’argument.
D’abord parce qu’il n’est pas crédible. Comment des Européens convaincus, proclamant vouloir faire faire à l’Europe "une avancée", pensent-ils faire admettre qu’ils n’auraient pas mis, à cette fin, toutes les chances de leur côté ? Ce serait totalement irresponsable. C’est ce que révélait “Le Figaro”, qui n’est pas le seul à le dire. Jacques Delors lui-même, rompu aux roueries de la bureaucratie bruxelloise, a affirmé l’existence d’une voie de repli.
L’argument n’est pas seulement stupide, il est aussi très arrogant. C’est la posture préférée des adeptes du “oui” : il n’y a pas d’autre choix possible que le leur.
Cette dictature de la pensée est en elle-même une raison supplémentaire de voter “non”. Pour ouvrir la voie à une alternative à laquelle se refusent les maîtres de l’Europe et qui méritent, ensemble et séparément, pour leur arrogance, un bon “coup de pied aux fesses” collectif.
Si une majorité de Français dit “non” au référendum que Jacques Chirac a lui-même convoqué, il lui appartiendra, en tant que président, d’exprimer cette volonté majoritaire - qui ne se réduit pas aux seuls partis et organisations ayant appelé à voter “non”. C’est avec plus de la moitié des Français, porteuse des espoirs des peuples d’Europe, qu’il faudra renégocier.
Soit le président se soumet à la volonté populaire, répondant au mandat démocratique qui lui a été confié en 2002 par plus de 80% des Français, soit il se démet.
P. David
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