
Mal-do-mèr dann sarèt
28 juin, parLo zour la pokor kléré, Zan-Lik, Mariz é sirtou Tikok la fine lévé, mèt azot paré. Madanm Biganbé i tir zot manzé-sofé, i donn azot, zot i manz. (…)
23 janvier 2017, par
Face au problème de la sécheresse, des propositions émergent. L’une d’entre elle est le recyclage de l’eau. Coup de projecteur sur l’extrait d’un article consacré à ce sujet par l’ONU :
« Face à une demande alimentaire croissante et des pénuries d’eau de plus en plus fréquentes, l’Organisation des Nations Unies pour l’alimentation et l’agriculture (FAO) considère qu’il est temps d’arrêter de considérer les eaux usées comme des déchets mais plutôt de les voir comme des ressources pouvant être utilisées pour l’agriculture.
L’utilisation des eaux usées dans la production agricole est au centre des discussions d’une réunion organisée jeudi par la FAO dans le cadre du Forum mondial pour l’alimentation et l’agriculture qui se tient à Berlin, en Allemagne et dont le thème porte sur l’agriculture et l’eau.
« Bien que l’on manque de données détaillées sur la pratique, nous pouvons dire que, de manière générale, seule une infime proportion des eaux usées traitées est utilisée à des fins agricoles. Il s’agit pour la plupart des eaux usées municipales », a déclaré le fonctionnaire principal au sein de la Division des terres et des eaux de la FAO, Marlos de Souza dans un communiqué. « Cependant, de plus en plus de pays faisant face à une hausse des pénuries d’eau - l’Egypte, la Jordanie, le Mexique, l’Espagne et les Etats-Unis par exemple - ont exploré plusieurs options ».
Longtemps considérées comme problématiques, les eaux usées municipales font maintenant partie des alternatives visant à lutter contre les pénuries d’eau. (…)
L’eau est évidemment indispensable pour la production alimentaire et les pénuries croissantes de cette importante ressource naturelle - appelées à s’intensifier en raison du changement climatique - conditionnent grandement le fait que l’humanité sera ou non encore capable de se nourrir par elle-même.
De manière générale, la croissance de la population et l’expansion économique font de plus en plus pression sur les ressources en eau douce. L’agriculture utilise déjà 70 % des prélèvements mondiaux d’eau souterraine et sachant que la demande alimentaire est appelée à augmenter d’au moins 50 % d’ici 2050, les besoins en eau de l’agriculture vont également s’amplifier, tout comme les demandes issues des villes et des industries. »
La Réunion connaît elle aussi la sécheresse. Elle a obligé notamment la commune de Salazie à décider de restrictions dans l’usage de l’eau. Chaque jour, des sommes considérables sont utilisées pour alimenter en eau potable plus de 800.000 Réunionnais. L’eau potable n’est utilisée qu’une fois, notamment pour des usages où elle est loin d’être indispensable. Puis elle part à la mer après avoir été traitée. La sécheresse est un phénomène qui dure, la population de La Réunion va continuer à augmenter. Autant de raisons qui poussent à arrêter de gaspiller l’eau.
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Messages
23 janvier 2017, 13:06, par max
Le traitement de l eau usée risque de coûter plus cher en énergie que la construction de quelques grandes retenues dans nos profondes rivières, les avantages sont multiples, énergie, faune flore, tourisme, sport, et bien entendu une grande économie au regard des stations individuelles de traitement des eaux dans nos 24 communes.
1er février 2017, 22:55, par Dudule
Il est regrétable que les particuliers doivent utiliser l’eau traitée pour tous les usages .
Arrosage des petits jardins, lavage des voitures...
Dans certaines communes de métropole j’ai vu un double système.
1) l’eau potable traitée pour la boisson, la vaisselle, la cuisine et autres.
2) Une autre distribution parallèle, avec de l’eau non traitée, pour l’arrosage des petits jardins, des plantes en pots, parfois des WC.
Cette eau est donc très peu chère ; c’est parfois un forfait trimestriel ou annuel.
Attention je ne parle pas de l’eau des agriculteurs, j’ai vu ceci dans des lotissements, avec de petits jardins, dans les parties communes vertes des immeubles et m^me dans quelques rues.
Sur un autre sujet,il est indéniable que l’eau est un produit vital. On ne peux vivre sans eau. Elle ne doit pas être soumise aux lois du marché, mais être vendue au prix coutant.M^me gratuite, jusqu-à une certaine quantité consommée. Ceci pour éviter le gaspillage.