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10 avril 2012
Ces deux dernières semaines, La Réunion a été visitée par les candidats en tête dans les sondages pour l’élection présidentielle. Plusieurs thèmes sont ressortis : lutte contre la vie chère, priorité à l’emploi des jeunes Réunionnais, coopération régionale, autonomie énergétique, autosuffisance alimentaire. Ce sont autant de sujets qui sont mis en avant par le Parti communiste réunionnais depuis 50 ans.
Les idées du PCR se retrouvent donc dans le programme de ceux qui ont accepté les propositions du "Pacte pour un développement durable, solidaire et responsable pour La Réunion". Elles sont aussi évoquées par les autres. C’est bien la preuve que pour rechercher des solutions à la crise structurelle de notre pays, les candidats sont obligés de puiser leurs idées dans les propositions du seul parti qui analyse la situation en partant de la réalité réunionnaise.
Dans le même temps, chacun peut constater les attaques contre le PCR. Elles proviennent de personnalités classées aussi bien à droite qu’à gauche sur l’échiquier politique. Comment expliquer cet étrange paradoxe qui veut que des soutiens affichés à des candidats du changement combattent les idées du changement ?
Il est évident que le changement qui se prépare fait peur à ceux qui se cramponnent à des positions de pouvoir. Une partie de la société ne veut pas que La Réunion change, car seul l’immobilisme peut lui offrir une possibilité de se maintenir. Ces personnes n’ont donc aucun intérêt à ce que le peuple puisse se libérer de la précarité. Alors face au mouvement se manifeste une solidarité de classe. Son objectif, c’est de combattre les forces capables de changer le pays, et donc le seul parti réunionnais, le PCR.
Il serait aujourd’hui grand temps que les acteurs de cette solidarité de classe assument leur position, et qu’ils disent clairement qu’ils refusent le changement à La Réunion. Car tôt au tard ils seront obligés de tomber le masque car le changement, Mesdames et Messieurs, vous n’avez pas fini d’en voir.
J.B.
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Messages
10 avril 2012, 11:18, par Laverdure
Eh bien monsieur J.B, il ne vous est pas venu à l’idée que le problème pouvait peut-être venir de chez nous ? Nous avons un bon projet, de bonnes analyses et une bonne perspective pour La Réunion et malgré tout, les gens ne se reconnaissent plus en nous. N’est-ce pas plutôt un problème de méthode et de comportement ? Si nous cessions peut être de perdre notre temps à combattre vigoureusement nos forces mais au contraire, à organiser une réelle parité, le non cumul de mandat et une politique basée non pas sur des basses tactiques politiciennes mais sur nos convictions, peut-être que les personnalités de gauche que vous citez s’engageront un peu plus à nos côté. Pour l’heure, le message du parti est brouillé par notre comportement absurde et lamentable. Il ne faut pas se voiler la face monsieur JB et réfléchir avant de souligner un paradoxe qui n’existe que dans votre imaginaire.
10 avril 2012, 12:45, par Temoignages.re
Justement, le PCR est engagé dans une refondation sur la base de ses principes fondateurs pour défendre mieux encore les intérêts de la population. Depuis le début de cette démarche, les choses se sont encore clarifiées. Et vous pouvez constater que les attaques contre le PCR redoublent, elles viennent de ceux qui combattent la réelle parité, le non-cumul des mandats, de personnes pour qui une organisation politique doit être l’instrument de leurs basses tactiques politiciennes. Comme l’explique monsieur JB, il est clair que ces personnages n’ont aucun intérêt à ce que les choses changent, d’où une solidarité de classe pour empêcher à tout prix la société réunionnaise d’avancer et donc de changer.
A Sainte-Suzanne, la population a déjà validé la refondation. Les grands projets d’intérêt général au service du peuple réunionnais vont bientôt être une réalité.
10 avril 2012, 15:40, par Laverdure
Je veux bien continuer à vous croire M. Témoignages.re mais avant de signer à nouveau, je veux des preuves de cette volonté de renovation. Je veux dire...il n’y a qu’à voir le choix de nos candidats à l’élection législative ! Serait-il alors possible d’inverser l’ordre des candidats dans les circonscriptions où les principaux candidats cumulent ?
Je ne comprend absolument pas notre signification du terme "refondation". A mon avis, le PCR n’a pas besoin d’être refondé mais il a besoin uniquement d’une modernisation de ses organes décisionnels pour tout simplement plus de démocratie et de compréhension au sein de notre organisation.
En ce qui concerne les accusations que vous portez dans vos dires, croyez-vous qu’il ne puisse exister qu’un seul courant de pensée au PCR ?
10 avril 2012, 18:23, par Temoignages.re
La stratégie du PCR pour ces législatives, c’est de mettre les maires en avant en fonction du redécoupage imposé par le pouvoir. Cela explique pourquoi dans toutes les circonscriptions où le PCR dirige une ou deux communes, un maire ou un de ses représentats est candidat, et il est à noter que dans ce cas, c’est la première fois que ces militants du Parti sont candidats aux législatives : les maires Jean-Yves Langenier, Maurice Gironcel et Eric Fruteau, et l’adjoint Yvan Dejean.
L’exception, c’était la maire de Saint-Paul qui devait être candidate dans la 7e circonscription. Elle avait déjà été candidate à trois reprises aux législatives, et élue à chaque fois avec le soutien des communistes de Saint-Paul, Trois-Bassins, Le Port et La Possession. C’était aussi celle qui cumulait le plus de fonctions : députée, maire, vice-présidente du TCO... Au nom du renouvellement, le PCR aurait pu alors proposer une autre candidature, il ne l’a pas fait. Il a dû ensuite en proposer une autre suite à la décision de la candidate d’aller ailleurs.
Dans les deux autres circonscription, la 1e et la 4e qui sont les plus difficiles car le PCR n’a aucune mairie, le PCR a fait le choix de militants expérimentés pour mener ces dures batailles.
10 avril 2012, 18:43, par Temoignages.re
Le PCR a des instances au sein desquelles a lieu le débat : cellules, sections, comité central, secrétariat, conférence extraordinaire, congrès.
Au sein de ces instances, chacun fait entendre son point de vue et ses arguments.
De ce débat naît une décision en fonction de la qualité des arguments présentés. Une fois que cette décision est approuvée, elle est appliquée. C’est une règle de la démocratie.