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11 janvier 2016, par
En Catalogne, les indépendantistes ont réussi à surmonter les divisions. L’origine du blocage était le choix du président. Les progressistes ne voulaient pas qu’Artur Mas soit le président de la Catalogne. C’était la seule condition de leur participation à la majorité parlementaire. Faute d’accord hier à minuit, de nouvelles élections allaient être organisées. Les indépendantistes pouvaient perdre le bénéfice de leur victoire au précédent scrutin. Artur Mas a décidé de ne pas être candidat à la présidence. En conséquence, le rassemblement a pu s’opérer. Les indépendantistes vont diriger la Catalogne.
Ce nouvel événement met de nouveau le doigt sur une décision prise en dépit du bon sens à La Réunion : faire de Huguette Bello une candidate à la présidence de la Région Réunion. Au soir du premier tour, la fusion des trois listes opposées à Didier Robert et le soutien d’une quatrième donnait près de 23.000 voix d’avance à la coalition. La condition de la victoire était que Huguette Bello ne soit pas tête de liste, car elle est incapable de rassembler. C’était la position du Parti communiste réunionnais. Pour avoir dit cela publiquement, le PCR a été exclu des discussions sur le programme et la composition de la liste.
Au second tour, l’avance de près de 23.000 voix s’est transformée en un retard de plus de 18.000. Les Réunionnais ont payé cher la stratégie jusqu’au boutiste visant à maintenir Huguette Bello tête de liste contre vents et marées.
En Catalogne, les dirigeants de la coalition indépendantiste ont créé les conditions pour atteindre leur objectif : mener la Catalogne vers l’indépendance. Ils ont donc choisi de mettre de côté les ambitions personnelles pour faire le choix d’une tête rassembleuse. À La Réunion, l’ambition d’une personne a conduit les forces de progrès à la défaite alors qu’elles devaient gagner : l’intérêt de la population a été sacrifié. Ce qui s’est passé hier en Catalogne montre bien qu’un autre choix était possible à La Réunion. La différence, c’est qu’en Catalogne, l’intérêt de la population est passé avant l’ambition d’une personne.
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